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Togo-IDH: Sandra Johnson présente les réalisations aux médias

Sandra Johnson-Secretaire-Présidence-du-Togo: Crédit Photo: compte X de la ministre secretaire

Les accomplissements ayant permis au Togo de se hisser en tête des pays de l’Uemoa dans le dernier rapport sur l’Indice de développement humain (IDH) ont été dévoilés à la presse locale le jeudi 4 juillet 2024 par la Secrétaire générale de la Présidence de la République, Sandra Johnson, accompagnée de la ministre de la communication, Yawa Kouigan.

Les progrès remarquables du Togo, qui l’ont propulsé en tête des pays de l’UEMOA selon le dernier rapport sur l’Indice de développement humain (IDH), ont été détaillés à la presse locale le jeudi 4 juillet 2024. Sandra Johnson, Secrétaire générale de la Présidence de la République, accompagnée de Yawa Kouigan, ministre de la Communication, a présenté ces avancées.

D’après le rapport, le Togo a consolidé ses progrès continus en améliorant son indice de 0,539 (en 2021-2022) à 0,547 (en 2023-2024). Il se positionne ainsi premier dans l’espace UEMOA pour la cinquième année consécutive et quatrième au sein de la CEDEAO. Sandra Johnson a souligné que ce succès résulte de l’engagement de l’exécutif à placer l’être humain au cœur du développement. « Le Togo a fait le choix du développement centré sur l’homme, le processus le plus difficile en économie », a-t-elle souligné.

Pour arriver à ces résultats, le rapport officiel indique que le pays a intensifié ses efforts dans des secteurs cruciaux du développement humain, comme la santé, l’éducation, l’accès à l’eau potable et à l’électricité, l’amélioration du cadre de vie, les infrastructures, l’agriculture et la sécurité alimentaire. Ces avancées notables permettent au Togo d’envisager son passage à la catégorie des pays à Indice de Développement Humain (IDH) moyen, avec un score d’au moins 0,550.

Pour rappel, l’IDH, créé par le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD), est un indice composite servant à évaluer le développement humain des pays. Il se base principalement sur trois critères: la santé et la longévité, le niveau d’éducation et le niveau de vie.

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