A’Salfo, le commissaire du Festival des Musiques Urbaines d’Anoumabo (FEMUA), a donné les raisons de l’absence de certains artistes nigérians pour les concerts de la 16eme Edition.
Du 16 au 19 mai, la 16ème édition du Festival des Musiques Urbaines d’Anoumabo (FEMUA) aura lieu, attirant des spectateurs à l’INJS de Marcory ainsi qu’à Ferkessédougou, situé dans le nord de la Côte d’Ivoire. Année après année, cet événement fascine un large public avec ses activités diverses et ses concerts nocturnes.
Un éventail d’artistes internationaux et locaux est prévu pour l’édition de cette année, promettant des spectacles qui captureront sans aucun doute l’attention des festivaliers. Les performances commenceront le jeudi 16 mai, avec des artistes tels que Les Patrons, Fadal Dey, Gadji Céli, Affou Kéïta, Elow’n, Fior 2 Bior, Morijah, Tamsir et O’Neal Mala de Côte d’Ivoire, ainsi que Gims et Franglish de France, Sona Jobarteh de Gambie, Yemi Alade du Nigeria, et Sarkodie du Ghana.
Le point culminant du festival se déroulera le dimanche 19 mai à Ferkessédougou, avec des performances extraordinaires de Yemi Alade du Nigeria, et de Gadji Céli, Affou Kéïta, Tamsir et Fior 2 Bior de Côte d’Ivoire. L’absence de certaines grandes figures de la musique nigériane a été remise en question par un internaute. En réponse, A’Salfo, le commissaire général du FEMUA et membre du groupe Zouglou, a défendu la programmation de cette année avec assurance et transparence sur les réseaux sociaux. « Ils sont trop chers pour nous ! Si on les fait venir, on ne pourra pas construire d’école », a répondu A’Salfo.
