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« Je sais que je n’ai pas raison », le chanteur béninois Fanicko à l’ivoirienne Ayanne

Depuis quelques jours, l’annonce de la fin de la relation entre les artistes Fanicko et Ayanne fait boule de neige sur la toile. Cependant à travers une chanson publiée sur la toile, il semble que Fanicko n’a pas encore tourné la page.

Le chanteur béninois, Fanicko ne semble pas encore complètement digéré sa rupture avec la chanteuse ivoirienne Ayanne. Ce dernier semble vouloir reconquérir cette charmante dame, qui avait partagé sa vie avec lui durant un bout de temps. Et la chanson partagée sur Facebook ce mercredi 10 avril 2024 en dit beaucoup sur les intentions du chanteur.

« Après l’amour, ce n’est pas la guerre, n’est-ce pas ? On s’est fait des promesses. Tu m’appelais et tu me disais : ‘’Doudou’’, j’ai envie que tu viennes me consoler. On s’amusait comme des gamins. On ne se disputait jamais. On faisait l’amour tous les matins. C’était la main dans la main. C’est pourquoi quand tu me vois, tu fais comme si on ne connaissait pas. Tu me dépasses en me lorgnant. Quand je t’appelle… N’oublies pas qu’un jour, tu m’as dit : ‘’bébé, je t’aime. Tu es l’amour de ma vie’’. Oh, I need you’’. L’artiste béninois qui a donné sa vie à Dieu, a même accompagnée d’un post. ‘’ Ayanne Queen, je demande pardon. Moi-même je sais que j’ai pas raison », pouvait-on lire en légende aux photos de la chanteuse Ayanne.

Fanicko a continué en ajoutant en commentaire : « Mon foyer mon combat’’, avant que des personnes soutiennent la démarche du chanteur qui reconnaît ses erreurs et souhaite même qu’il aille demander pardon de vive voix à la jeune chanteuse ivoirienne. Lorsqu’il avait affirmé dans les médias qu’il s’était séparé d’elle, ‘’parce qu’ils ne partageaient plus les mêmes idées sur plusieurs aspects. Bien qu’elle ait presque été sa fiancée, il garde une grande affection pour elle, car elle a eu un impact significatif sur sa vie ».

Par ailleurs, nous espérons qu’avec cette sortie, Ayanne qui ne s’était jamais prononcée sur ce sujet, brisera le silence.

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