La FIFA a dévoilé un document détaillant les exigences fondamentales que les fédérations de football d’Espagne, du Portugal et du Maroc doivent respecter poru l’organistaion de la Coupe du monde 2030. Ce document, véritable feuille de route, met en lumière les aspects cruciaux liés aux infrastructures, au cadre juridique et aux engagements environnementaux et sociaux.
La FIFA souligne l’importance capitale de ces critères en stipulant que toute candidature ne respectant pas ces exigences pourrait être jugée inapte à être présentée. Ce premier résumé sert de base, établissant le niveau minimum d’obligations organisationnelles, mais ne couvre pas tous les détails de manière exhaustive.
Au cœur des critères, la FIFA exige un minimum de 14 stades, avec des capacités comprises entre 40 000 et 80 000 places, dont sept doivent être déjà existants ou en cours de construction. Une condition largement satisfaite par la candidature ibéro-marocaine, qui prévoit entre l’Espagne, le Maroc et le Portugal un total dépassant largement ces exigences.
Les stades doivent respecter des normes strictes, allant de la taille du terrain au gazon naturel avec un renfort hybride. Des systèmes fonctionnels de chauffage, d’aspiration et de ventilation, ainsi que la possibilité de fermer ou d’ouvrir les toits rétractables à la mi-temps, sont également requis. De plus, chaque stade doit être équipé de deux écrans vidéo géants d’au moins 200 mètres carrés.
Outre les stades, la candidature ibéro-marocaine doit offrir un minimum de 72 options d’installations d’entraînement adaptées. Les critères touchent également aux tribunes VIP, aux parkings et aux services d’affiliation commerciale.
En mettant l’accent sur la transparence et l’efficacité, la FIFA se positionne comme garante d’un événement de classe mondiale, plaçant la barre haut en matière d’organisation et d’infrastructures. La compétition pour accueillir la Coupe du Monde 2030 s’annonce intense, avec la FIFA comme arbitre intransigeant du respect des normes établies. Les prochains mois seront cruciaux pour les fédérations ibéro-marocaines qui devront démontrer leur capacité à répondre à ces exigences exigeantes et à offrir un spectacle mémorable en 2030.