Dans la nuit du mardi 21 novembre au mercredi 22 novembre a eu lieu le match Brésil-Argentine comptant pour les éliminatoires de la coupe du monde 2026. Ce face-à-face a été le théâtre d’incidents violents impliquant les supporters des deux équipes. Un acte que le président de la FIFA condamne fermement.
Après l’exécution des hymnes, des fortes violences ont commencé dans les tribunes qui ne sont que des affrontements entre supporters, ce qui a retardé le coup d’envoi du match d’une demi- heure. Maitrisées par les forces de l’ordre, ces violences ont dû s’arrêter après quelques minutes.
Gianni Infantino, président de la FIFA s’est prononcé après sur le sujet en ces termes : « Il n’y a absolument aucune place pour la violence dans le football, sur ou à l’extérieur du terrain, a écrit le patron du foot mondial sur son compte Instagram, en anglais, espagnol et portugais. De tels événements n’ont aucune place dans notre sport ou société. »
Le visiteur c’est-à-dire l’équipe de l’Argentine( Joueurs comme staff) a été contrainte de vider le terrain et n’est revenue qu’au moment où tout est maitrisé ce qui a occasionné un retard de 30 min dans le coup d’envoi.
« Sans exception, tous les joueurs, supporters, l’encadrement des équipes et les officiels doivent être en sécurité pour jouer et profiter du football, et j’appelle les autorités compétentes à s’assurer du respect de ce principe à tous les niveaux », a conclu Gianni Infantino.
Sollicitée par l’AFP, la FIFA a expliqué mercredi n’avoir pas encore ouvert d’enquête disciplinaire – processus qui nécessite en général plus de temps, puisque l’instance doit recevoir et étudier le rapport détaillé du match nous révèle « l’équipe ». Rappelons que le match s’est soldé par une victoire de l’Argentine sur l’unique but de Nicolas Otamendi inscrit à la 63è minute.
