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Lewandoski reçoit son Soulier d’or européen et rend hommage à Karim Benzema

Robert Lewandoski @ Eurosport

Auteur de 41 buts avec le Bayern Munich lors de la saison 2020-2021, Robert Lewandoski a reçu ce mardi le Soulier d’or du meilleur buteur d’Europe. L’occasion pour le géant polonais de rendre hommage à l’attaquant du Real Madrid, Karim Benzema, son dauphin pour le sacre.

L’attaquant du Bayern Munich, Robert Lewandoski, a récupéré ce mardi son trophée de Soulier d’or européen. Le géant polonais a été récompensé pour sa saison 2020-2021 exceptionnelle. Meilleur buteur de la Bundesliga, le joueur de 33 ans a signé 41è réalisation en 29 matchs. Ce qui lui a d’ailleurs permis de battre le record du légendaire Gerd Muller qui était à 40 buts en une saison en Bundesliga.

Meilleur buteur des différents Championnats du Vieux Continent lors de la saison 2020-2021, l’international polonais a a devancé Lionel Messi (30 buts), Cristiano Ronaldo (29), André Silva (28), Kylian Mbappé (27) ou encore Erling Haaland (27). Il succède ainsi à l’Italien Ciro Immobile qui avait inscrit la bagatelle de 36 buts avec la Lazio lors de la saison 2019-2020. Après la cérémonie de remise des prix, l’attaquant polonais a répondu à quelques questions :

Soulier d’or : « C’est la récompense de mes efforts et de ceux de toute l’équipe. Je ne pense pas à un autre, car nous venons de commencer la saison et je ne joue pas pour gagner ces prix ».

Benzema (question de MARCA) : « J’admire Karim non seulement pour les buts qu’il marque, mais aussi pour la façon dont il fait jouer son équipe. Son travail pour l’équipe est ce que j’apprécie le plus chez lui. C’est un grand joueur. »

Signer pour le Real Madrid dans le passé (question de MARCA). « Oui, c’est vrai que j’ai rencontré Florentino Pérez à quelques reprises, dont l’une après un match que nous avons joué contre eux. Mais ce qui s’est passé dans cette discussion, je ne peux pas vous le dire ».

Son idole : « Quand j’étais jeune, j’admirais Thierry Henry, mais mes véritables références étaient mes parents, qui se sacrifiaient pour m’emmener à l’entraînement après le travail et essayaient de faire de moi non pas un footballeur professionnel, mais un enfant heureux »

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