Fermer

Côte d’Ivoire: victime d’injures et de moqueries sur la toile, Guillaume soro invite ses partisans à la sérénité

Le fondateur de Générations et Peuples Solidaires (GPS), Guillaume Soro, victime de railleries et d’attaques sur la toile, a pris la décision de briser le silence. A travers un message sur sa page Facebook Officielle, il a invité ses partisans à garder le calme.

Objet d’injure et d’attaques depuis un moment, l’ancien Premier Ministre ivoirien et président de Générations et Peuples Solidaires (GPS), Guillaume Kigbafori Soro est sorti de son silence. Connu pour son activisme, il a appelé ses partisans à ne pas céder à ses provocations, mais à plutôt garder le silence. Il l’a fait savoir à travers une publication sur sa Page Facebook.

« Chers Tous, J’ai observé ces temps-ci que des inconnus sans doute stipendiés sont venus sous mes posts pour ne proférer qu’injures et moqueries.  Je demande aux adhérents de GPS de garder leur sérénité et patience. Tout ceci ne sera tôt ou tard qu’un lointain souvenir », a notifié Guillaume Soro.

Il a poursuivi en partageant avec sa communauté deux enseignements tirés de son exil. « si le destin des hommes leur appartient à 30 %, les 70 % autres appartiennent à Dieu. Si tu es croyant juif, chrétien ou musulman, sache que le prophète Moïse, le messie Jésus-Christ et le prophète Mohammed furent longtemps exilés. Alors médite et prie profondément pour vaincre ton ignorance et gagner en humilité. J’assume mon destin et mon exil tel que prescrit par Dieu sans pleurnicherie ni gémissements, mais avec stoïcisme et foi. À mon âge, je ne peux que consacrer ma vie à l’Afrique et à ma terre natale ivoirienne dans la paix, la Concorde, la réconciliation et le pardon. Le pardon qui guérit », a-t-il laissé lire.

Pour rappel, en exil depuis 2019, Guillaume Soro est très actif sur les réseaux sociaux. L’ancien Premier ministre d’Alassane Ouattara avait même été condamné à la prison à vie pour « atteinte à la sûreté de l’État ».

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Laisser un commentaire
haut de page