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Un commando de cambrioleurs attaque un zoo et vole plusieurs animaux

Image d'illustration d'un Zoo @LCI

Un cambriolage pas comme les autres a eu lieu en France dans la nuit de dimanche à lundi. Des individus bien organisés ont pris d’assaut un zoo et ont volé des animaux avant de disparaître dans la nature.

Un zoo a été cambriolé dans le zoo d’Upie (Drôme) en France et selon les responsables de l’établissement, plusieurs animaux ont disparu après le passage des voleurs. Selon les informations de France Bleu, c’est la responsable du secteur primates et des nouvelles espèces du parc animalier dans le zoo d’Upie (Drôme), qui a découvert l’incident lundi matin. Elle a retrouvé les abris des tamarins et des lémuriens vides ou presque. Après un rapide inventaire, il s’est avéré que dix des onze lémuriens et deux tamarins ont été dérobés lors d’un cambriolage.

« C’était des mois et des années de travail en amont pour sortir de terre un bâtiment tout neuf », a regretté le gérant du zoo Alexandre Liauzu. Quant aux lémuriens, ils ont été accueillis depuis deux ans à Upie. Dix ont disparu, et il n’en reste qu’un. « Ils n’ont pas dû réussir à l’attraper », a-t-il estimé. Les tamarins labiés, des petits singes avec une tache blanche comme une moustache, sont arrivés en mai dans le cadre d’un programme de conservation des espèces rares.

Linfo.re rapporte que le gérant du zoo soupçonne que ce ne soit l’œuvre de trafiquants. Selon lui, il s’agirait d’un commando apparemment bien organisé qui a vraisemblablement suivi une commande. Il estime que les animaux volé sont

Un commando apparemment bien organisé de lémuriens de plusieurs kilos et il n’y a pas d’installations autres que les zoos qui peuvent les accueillir correctement. Il est évident que c’est l’attrait pour l’exotisme. Les espèces volées sont rares dans la nature, mais elles sont présentes dans les parcs animaliers grâce aux programmes de reproduction, rapporte Linfo.re. Ainsi, les zoos sont de plus en plus visés par des trafiquants « qui ne savent plus où les trouver. « Ce sont souvent les mêmes espèces qui sont ciblées comme les primates », a expliqué Alexandre Liauzu.

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