Star incontestée du ballon rond, Cristiano Ronaldo trône au sommet du football, depuis une quinzaine d’années. Obsédé de travail et toujours à la quête de l’excellence, le Portugais est considéré comme l’archétype même du parfait footballeur. Des qualités qui seraient dues à ses origines africaines.
Né de Maria Dolores Dos Santos Aveiro et de José Dinis Aveiro, Cristiano Ronaldo est l’un des meilleurs joueurs de la planète. Révélé au monde, au Portugal, le footballeur est aujourd’hui l’un des plus titrés au monde, avec cinq Ballons d’or à sa corde. Athlète hors-pair, CR7 est un monstre de travail où aucun défi ne lui semble impossible.
Des qualités qui seraient dues à ses origines africaines. Petit-fils d’Isabel Rosa, l’ancien Madrilène est d’origine cap-verdienne de par sa grande-mère paternelle, qui est, elle aussi, née d’une union entre un Portugais et une Cap-Verdienne.
C’est en tout cas ce qu’a révélé le site Oh My Goal dans une vidéo publiée sur sa page Facebook. « Les racines de sa famille ont poussé sur une île du continent africain. Son arrière grand-mère paternelle Isabela Rosa était du Cap-Vert. A 16 ans, elle quitte son pays pour s’installer à Madère (Portugal). Elle a donné naissance à Umberto Aveiro, le père de José Diniz. Ce dernier s’est marié avec Doloreis pour donner naissance à Cristiano Ronaldo« , a-t-on fait savoir dans la séquence vidéo.
Du sang africain dans ses veines
Guillem Balague, correspondant espagnol pour le média britannique Sky Sports, a publié, en 2015, une biographie sur le champion d’Europe portugais, Cristiano Ronaldo. Récemment traduit en Italien du fait de son transfert à Turin, les journalistes transalpins ont révélé que la star de la Juventus a bel et bien un peu de sang africain dans ses poumons. Et à Guillem Balague de conclure que c’est ce qui « explique peut-être en partie la force musculaire de Ronaldo, au niveau des fibres ».
Dans son livre, on apprend également que le père de Cristiano, petit-fils d’Isabela Rosa et décédé en 2005, n’a pas beaucoup été présent pour sa famille de son vivant : « J’ai suivi les traces de son enfance, j’ai parlé avec des amis à Madère, dans une banlieue pauvre, où il (Ronaldo) a grandi sans l’affection d’un père alcoolique. »
Dans une interview accordée à La Republica, Balague en déduira que cette enfance difficile est la raison qui a poussé Ronaldo à voir, en Sir Alex Ferguson, la figure paternelle, dont il a cruellement manqué.