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Affaire Pegasus: Le Maroc et la Hongrie rejettent les accusations d’espionnage

Soupçonnés d’avoir espionné des militants des droits humains, des journalistes et des opposants grâce à un logiciel espion israélien, la Hongrie et le Maroc ont nié lundi les accusations.

Le gouvernement marocain a dénoncé, dans un communiqué, des informations mensongères selon lesquelles les services de sécurité du royaume ont infiltré les téléphones de plusieurs personnalités publiques nationales et étrangères et de responsables d’organisations internationales à travers un logiciel informatique.

La Hongrie a également démenti lundi l’utilisation par les services secrets hongrois du logiciel pour espionner des personnalités et toute coopération en ce sens avec Israël, comme l’en accusent plusieurs medias internationaux. « Le directeur général des services secrets m’a informé qu’aucune coopération n’a établie avec les services de renseignement israéliens», réagit le ministre des affaires étrangères Peter Szijjarto pendant une conférence de presse.

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Pegasus, est un logiciel espion créé par la société israélienne NSO groupe. Lorsqu’il est introduit dans un smartphone, ce logiciel permet de récupérer les photos, des messages et même d’écouter les appels. Amnesty international et Fordiden stories ont accédé à une liste de 50 000 numéros de téléphones que les clients de NSO avaient sélectionnés en vue d’une surveillance potentielle.

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