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Ghana: «J’ai pratiqué le lesbianisme au secondaire», ces propos d’une ministre créent la polémique sur la toile

La ministre de la Communication et de la Numérisation du Ghana, Ursula Owusu-Ekuful, a parlé de sa vie passée lorsqu’elle était bien plus jeune.

La ministre de la Communication et de la Numérisation du Ghana, a au cours d’une émission ce mercredi 28 avril 2021, fait une grande révélation sur sa vie Privée.

Ursula Owusu-Ekuful, la ministre de la Communication et de la Numérisation ghanéenne, a partagé son point de vue ce mercredi 28 avril 2021, sur la question liée aux LGBTQ +, qui ont récemment fait la une des journaux dans le pays. Durant son intervention sur StarrChat et rapporté par Ghanaweb, la ministre a dévoilé qu’elle a expérimenté la pratique du lesbianisme, connue plus sous le pseudonyme de « Supi supi », lorsqu’elle était au secondaire, tout en grandissant, en tant que jeune fille. Elle a poursuivi en notifiant que cette étape de sa vie, n’était qu’une phase passagère, pour elle, pouvant l’aider à explorer sa sexualité. « La plupart d’entre nous qui sommes passés par le système d’internat auraient été exposés, en particulier dans les écoles de filles et dans certaines écoles mixtes, au «supisme» (terme local définissant le lesbianisme. Nous l’avons fait.  Je ne m’en excuse pas, mais j’aime les hommes », a déclaré la ministre.

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Ursula a ajouté que, même si, elle était attirée par le sexe opposé, elle voulait juste avoir une idée de ce que, c’était d’être avec le même sexe.

Pour terminer, la ministre a affirmé qu’elle était heureuse à cette époque-là, quand elle explorait activement sa sexualité avec des filles. Elle a aussi déploré le fait que les réseaux sociaux ne soient pas encore bien développés en ce moment. Sinon cela aurait été un record permanent qu’elle aurait dû vivre avec le reste de sa vie. « Vous explorez votre sexualité, alors vous faites toutes sortes de bêtises en grandissant.  Dieu merci, il n’y avait pas de médias sociaux quand nous grandissions;  vous laisserez un enregistrement permanent de certaines de ces choses folles… », conclut-elle.

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