Alors qu’il fait partie aujourd’hui des artistes coupé-décalé les plus en vogue en Côte-d’Ivoire, le chanteur Dj Lewis a tenu à faire des révélations sur la façon dont il a été humilié par plusieurs de ses collègues avant d’être à ce niveau.
Le tout puissant Lewis a fait les beaux jours du coupé décalé dans les années 2009 avec son tube à succès « devenir fou » pendant la pandémie de la grippe aviaire. Après avoir observé un long moment de silence, l’artiste et disc joker Ivoirien est revenu au devant de la scène et enchaine les chansons pour le bonheur de ses fans et mélomanes.
A peine il a refait surface, Dj Lewis a pu se mettre déjà au sommet grâce à son morceau à succès Apoutchou en collaboration avec Fior de bior. Souvent critiqué dans le passé, Dj Lewis a enfin décidé de révéler le secret de sa réussite en passant en peigne fin les nombreuses humiliations dont il a été victime dans le showbiz avant d’être à ce niveau.
« Quand j’étais dans l’ombre, je ne moussais pas, qu’est ce que je n’ai pas entendu!, que “je suis fini, dépassé, que c’est la chute pour moi. Mais aujourd’hui tout le monde, toute l’Afrique danse au son de ma chanson Apoutchou devenue un tube planétaire. Des artistes coupé décalé de renoms en Côte d’Ivoire, à savoir Arafat, Kerozen, Francky Dicaprio et bien d’autres ont connu ce qu’on appelle la traversée du désert avant de rebondir » A-t-il indiqué.
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Puis d’ajouter : « Le plan de Dieu, personne ne peut résister. Dieu est seul maître au contrôle de tout et il donne la grâce à qui il veut. Quand tu ne mousses plus, certains chanteurs quand ils te voient quelque part dans le milieu, ils font la Star et ne daignent même pas vouloir chercher à te saluer. J’ai connu ces frustrations là. Shado Chris par exemple l’a fait. Bebi Philip lui n’avait pas mon temps, et me donnait des faux rendez vous quand j’avais besoin de lui pour enregistrer à son studio »
Pour finir, l’auteur du morceau à succès « Apoutchou » a démontré que ces différentes difficultés et humiliations ont fait de lui ce qu’il est maintenant. « Aujourd’hui je n’en veux à personne. Les critiques et les railleries ont été pour moi une source de motivation, elles m’ont finalement donné de la force. » A-t-il conclu.
