Gali Galo, un Ghanéen de 38 ans a été arrêté pour avoir prétendument battu sa femme, Beatrice Logosu, 34 ans, à mort pour des soupçons d’infidélité.
Le suspect, pêcheur de profession, a été appréhendé par la police à Denu, la capitale de la municipalité de Ketu Sud, après avoir secrètement envoyé le corps de la victime à la morgue de la clinique Hosanna à Agbozume
La police a également arrêté le préposé à la morgue, William Gbeke, 36 ans, pour complicité dans le crime. En effet, la police a déclaré que son attention avait été attirée sur le crime à la suite d’un rapport des voisins. Selon les informations, le suivi à la morgue et une inspection du corps a révélé des ecchymoses et des contusions sur le corps, avec du sang suintant d’une mâchoire cassée.
Après avoir établi le rapport, les autorités de la police ont ouvert une enquête qui leur a permis de mettre la main sur le mari assassin qui avait déposé secrètement le corps de sa défunte femme à lka morgue après son forfait. « Le cou de la victime semblait cassé, suggérant un cas possible d’étranglement » a indiqué le rapport reçu par la police.
L’agent des relations publiques de la police régionale de Volta, le sergent Prince Dogbatse, qui a confirmé l’incident le mardi 30 mars, a déclaré que les voisins du couple à Akame avaient déclaré avoir entendu le couple lors d’une altercation vers midi samedi dernier. Galo aurait accusé sa femme d’infidélité.
Les voisins ont déclaré avoir tenté d’intervenir, mais l’attitude hostile du suspect et ses menaces de tuer quiconque s’approchait les ont obligés à se retirer. Selon eux, Galo a continué d’agresser sa femme dans la nuit et ils se sont réveillés le lendemain matin pour apprendre que la victime était décédée.
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Un rapport a été déposé au poste de police de Denu et le suspect a été retrouvé à la morgue de la clinique Hosanna où il avait secrètement envoyé le corps de la victime pour embaumement. Le suspect et le préposé à la morgue ont donc été arrêtés. Le sergent Dogbatse a expliqué que l’agent de la morgue a été arrêté en raison de sa conduite contraire à l’éthique de sa profession
