Fermer

Musique : Bunny Wailer, la légende du reggae et fondateur des Wailers est mort à 73 ans

bunny@MediaPunch

Le monde du reggae vient d’être à nouveau frappé par le décès d’une légende. Neville Livingston connu populairement sous le nom  Bunny Wailer s’est éteint ce mardi 02 mars dans un hôpital de sa Jamaïque natale.

Les mauvaises nouvelles s’enchainent pour l’univers du reggae. Après la mort du célèbre Jamaïcain  U Roy 18 février passé, une autre légende du reggae qui a connu la gloire avec Bob Marley est décédé à l’âge de 73a ans dans un hôpital jamaïcain.

En effet, la ministre de la Culture jamaïcaine Olivia Grange a annoncé ce mercredi, la mort  du chanteur et percussionniste jamaïcain Bunny Wailer. La légende du reggae, est décédée mardi à 73 ans au Andrew’s Memorial Hospital de Kingston, en Jamaïque selon les informations données par la ministre.

Les causes de la mort du reggae man n’ont pas été révélées pour l’heure. Mais il faut noter que Bunny Wailer membre fondateur du groupe The Wailers avec Bob Marley et Peter Tosh avait fait deux accidents vasculaires cérébraux. Un premier en 2018, et un second en en juillet 2020.

Né né le 10 avril 1947 à Nine Miles, au nord de la Jamaïque, Bunny Wailer y a rencontré, dès l’enfance, Bob Marley, avec lequel il s’est lié d’amitié. Plus tard, son père deviendra la compagne de la mère de Bob Marley. Ils déménageront à Trench Town, quartier de Kingston, où ils seront influencés par leur rencontre avec Joe Higgs, considéré par beaucoup comme le «père du reggae», qui les encouragera à former un premier trio avec Peter Tosh.

Bunny Wailer quitte les Wailers en 1974. Il sera bientôt suivi par Peter Tosh, qui se lance lui aussi dans une carrière solo. Le premier album solo de Wailer, Blackheart Man, paraît en 1976. Le chanteur, qui quitte rarement la Jamaïque, va attendre 1986 pour entreprendre sa première tournée internationale. Ses disques se vendent moins que ceux de Tosh et Marley, ce qui fait de lui le musicien le plus sous-estimé du trio.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Laisser un commentaire
haut de page