Condamné à trois (03) d’emprisonnement, dont 01 an ferme dans l’affaire dite » des écoutes », l’ancien président français, Nicolas Sarkozy se victimise. Il clame haut et fort son innocence. L’ancien chef d’Etat est même prêt à assigner la France devant une juridiction européenne.
Dans un entretien, paru dans le Figaro, l’ex président français, Nicolas Sarkozy se met en position de victime, après sa condamnation. A l’en croire, il y a un déni de justice. « Je ne peux en effet accepter d’avoir été condamné pour ce que je n’ai pas fait », a affirmé Nicolas Sarkozy, à la suite de sa condamnation dans l’affaire dite des écoutes téléphoniques.
A lire aussi:Covid-19: le Japon invite la Chine à ne plus soumettre ses citoyens au test anal (photo)
Très fâché et n’ayant pas digéré cette condamnation, ne compte pas baisser les bras. Il a notifié, être prêt pour une longue bataille judiciaire.
« On me condamne en me prêtant la pseudo-intention de commettre un délit qui serait démontré par des bribes de conversations téléphoniques sorties de leur contexte et mises bout à bout. Le jugement ne fait pas état de preuves, mais d’un ‘faisceau d’indices’. J’affirme que pour condamner, dans un État de droit, il faut des preuves. Et des preuves, il n’y en pas dans ce dossier », dixit Nicolas Sarkozy.
A lire aussi:Côte d’Ivoire: «j’étais un chinois caché», l’émouvant témoignage de Charles Blé Goudé à DJ Arafat
Par ailleurs, l’ancien président français, dénonce grande injustice dans le jugement de cette affaire. « Ce document (le jugement, NDLR) est truffé d’incohérences. Il est écrit noir sur blanc que je n’ai accompli aucune intervention à Monaco en faveur de Gilbert Aziber », affirme Sarkozy, avant de conclure que l’affaire va connaître son épilogue peut-être devant la Cour Européenne des Droits de l’homme.
