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Côte d’Ivoire: «avoir des troubles mentaux, ce n’est pas être fou», l’actrice sénégalaise Khalima Gadji

La célébrité du septième art sénégalais, Khalima Gadji a posé ses valises en Côte d’Ivoire, depuis le mois de décembre 2020.au cours d’une interview, elle levé un coin de voile sur son passé difficile.

La talentueuse actrice sénégalaise, Khalima Gadji séjourne, depuis le mois de décembre 2020, sur la terre ivoirienne. Connue pour sa perfection et son originalité, lors de ses différentes interprétations, elle fait actuellement les beaux jours du septième ivoirien.

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Reçu en interview, Khalima Gadji, connue plus sous le pseudonyme de Marème a donné les raisons de sa présence sur la terre ivoirienne. A l’en croire, elle y est pour des raisons professionnelles. Marème a en effet, signé un contrat de production avec une structure. Elle œuvre donc sur plusieurs projets qui seront bientôt dévoilés.

Parlant des projets qui seront bientôt dévoilés, il y a « Don’t call me fire » un documentaire sur sa personne, sa vie. Sa trame se définit comme suit selon les propos de Khalima Gadji « C’est mon documentaire réalisé depuis 2017, et dans ce documentaire je parle de ma vie, de ce que j’ai vécu, surtout de mes pressions, de ma maladie. »

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Pour finir, la jeune femme a notifié qu’elle souhaite aider toutes les personnes vivant avec une souffrance mentale par ce film, afin que ces dernières puissent se traiter, s’assumer, se prendre en charge et de briser le tabou en Afrique. « La maladie mentale n’est pas un problème de sorcellerie. C’est une vraie maladie qui peut atteindre tout le monde » dixit-elle avant d’ajouter « avoir des problèmes mentaux ce n’est pas être fou ».

Par ailleurs, il faut simplement affirmer que l’autre objectif de ce film d’après Marème est de lever une collecte de fonds pour venir en aide à toutes personnes malades mentalement.

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