L’étoile montante de la musique ivoirienne, Mula a récemment été connue par le grand public grâce à son tube « Paradis sur Terre ». La starlette, qui connaît un grand succès aujourd’hui, a pas eu une enfance rose. Elle l’a fait savoir lors d’une émission de Vibe Radio.
Reçue dans un entretien sur Vibe Radio, Lorraine Brigitte Gohourou, alias Mula, qui connaît un grand succès aujourd’hui, grâce à son tube, « Paradis sur Terre », est revenue sur son enfance qui n’a pas été facile à Yopougon.
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«Je suis orpheline, j’ai perdu mon père M. Gohourou depuis l’âge de 9 ans. Je vous confie que je suis 22e enfant de mon père et 2e fille de ma mère. Après le décès de mon père, j’ai grandi avec ma mère dans des conditions très modestes à Yop. Les choses n’ont pas été faciles, je n’ai pas connu une enfance super facile, moi qui ai grandi très modestement dans plusieurs quartiers populaires de Yop, tels que YAO SEÏ, LIÈVRE ROUGE, SICOGI, SOGEFIHA. Élève au groupe scolaire Sédar Senghor, j’ai dû arrêter les cours en classe de 4e», a raconté la protégée de Tony Rodriguez.
Pour conclure, Mula a ajouté : «Depuis toute petite, j’étais friande de musique. Après la perte de papa, je grandis avec mes frères et sœurs dans l’humilité, le courage, la force de caractère. Il fallait se débrouiller. Moi j’étais perturbée, je voulais me battre dans la vie et aider ma mère. Maman m’a donné la possibilité de me lancer dans ce que je voulais faire le plus, la musique».