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Côte d’Ivoire: «j’ai trompé ma femme avec une métisse», Makosso Camille

Les sulfureux révérends général Makosso Camille et prophétesse Christ-Tamaya se sont prononcés sur plusieurs sujets brulants de l’actualité dont la Polygamie ce samedi 21 novembre 2020 sur la radio Trace FM.

Reçus en tant qu’invités sur l’émission « Accusé, levez-vous » du samedi 21 novembre 2020 sur la radio ivoirienne Trace FM, les polémistes Camille Makosso et Christ-Tamaya ont effectué des révélations au cours d’un débat très houleux.

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En effet, tout a commencé par la Prophétesse Christ-Tamaya qui a ouvert la boite de pandore sur le chef de fil de la marmaille. « Quand on revendique un régime, il faut être conséquent avec soi-même. Makosso revendique la monogamie alors qu’il a trompé sa défunte épouse Tatiana Kossérė et il a eu un enfant adultérin qui est malheureusement décédé. S’il défend la monogamie, qu’il ne rase pas les murs pour tromper sa femme », dévoile-t-elle.

A en croire Afrique Showbiz, la Prophétesse a fait cette révélation parce que le Général Makosso fait partie de ces serviteurs de Dieu qui défendent la Polygamie, alors qu’il est pleinement dedans. Le président de la commission des églises évangéliques de la Côte d’Ivoire n’a pas mis en doute les propos tenus par la Prophétesse. « J’ai connu plus de 200 femmes. Ma femme, je l’ai trompée avec une jolie fille métisse. Quand j’ai vu les cuisses de la fille, je n’ai pas pu tenir. La qualité de ses cuisses et de son postérieur a déséquilibré ma foi et je l’ai maplô… Et un enfant est sorti. Hélas ! L’enfant est décédé. Ce n’était pas la seule. Je reconnais que j’ai trompé ma femme », avoue-t-il.

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Cependant, pour terminer, l’homme de Dieu a fait une distinction entre l’adultère et la polygamie. A l’en croire, Christ-Tamaya ne sait pas faire la part des choses. « L’adultère et la polygamie sont deux sujets totalement différents. Adultère, tu te caches pour aller maplô. Polygamie, tu confirmes que j’ai deux femmes officiellement. Mais ma femme connaissait la jeune fille. Mes enfants connaissaient l’enfant. Si j’avais continué à pratiquer le péché, on pouvait dire Dieu merci, mais aller prendre un délit de 2007, franchement », a -t-il expliqué.

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