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Côte d’Ivoire: la star Josey fait une grande révélation sur sa vie

Côte d’Ivoire : « je ne suis plus un cœur à prendre », Josey

Côte d’Ivoire : « je ne suis plus un cœur à prendre », Josey , @: Google.com

La célèbre chanteuse ivoirienne a fait ce jeudi 08 octobre 2020, des révélations sur la situation qu’elle avait traversée en 2019.

 L’année 2019 n’a pas été rose pour la glamour chanteuse ivoirienne Josée Priscille Gnakrou, beaucoup plus connue sous le pseudonyme de Josey, celle-là qui est considérée comme l’une des meilleures de la musique féminine ivoirienne.

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En effet, l’ex de l’international Serey Die a fait des confidences sur sa vie ce jeudi 08 octobre 2020. Des révélations qui étaient restées inconnues du grand public.  « Un an jour pour jour… Le seigneur a fait de grandes choses dans ma vie en 2019. Ce jour-là, je sortais de la Polyclinique de l’Indénié suite à une intervention chirurgicale. Intervention qui visait à m’enlever une hernie ombilicale. J’aurai pu ne pas me relever de ce lit parce j’ai cours de cette même année, j’en étais à ma deuxième opération, la première était pour m’enlever un kyste ovarien », affirme Josey.

L’interprète de « Espoir » a continué en répondant à ses nombreux détracteurs qui ne cessent de lui proférer régulièrement des insultes sans vraiment connaitre ses réelles souffrances quotidiennes.  « Avant d’insulter mon corps et mon ventre, ayez la descente de porter mes souliers histoire de savoir ce qui se passe. Je montais sur scène et je dansais, et les fans étaient contents et je faisais des photos, mais juste après, je me tordais de douleurs et il me fallait 2 à 3 heures pour que la douleur passe et que j’arrive à me tenir débout correctement », a expliqué la chanteuse.

Par ailleurs, elle conclut en affirmant : « Des jours après, on voit vos commentaires méchants sur les réseaux sociaux. Si vous aviez une vague d’idées de ce qu’on traverse parfois, vous seriez plus humains. Je ne cherche aucune compassion. Je n’en ai pas besoin. Mais vous devriez comprendre à la fin de la journée, que la méchanceté gratuite n’a jamais rendu riche »

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