Fermer

Nigéria : les confidences chocs de Davido sur sa carrière spectaculaire

Davido @ Benin Web TV

De retour sur les réseaux sociaux après quelques mois de pause, Davido s’est confié à Grammy Museum sur Instagram sur son ascension fulgurante dans le monde de l’Afropop. La star nigériane a fait des confidences sur son début de carrière et les sacrifices qu’il a dus faire.

Star incontestée de l’Afropop, Davido aurait pu embrasser une carrière autre que la musique. Fils de milliardaire nigérian, l’artiste qui a passé son enfance à l’Alabama aux Etats-Unis, était promis à devenir un grand entrepreneur comme son géniteur. Mais rapidement, la musique a pris le dessus. Une carrière dans laquelle l’artiste excelle étonnamment bien malgré le refus catégorique de son père à ses débuts. Ce qui l’obligeait à fuir de la maison pendant des jours pour vivre sa passion.

A lire aussi : L’homme le plus laid d’Ouganda épouse une deuxième femme (vidéo)

«Ce n’était pas que je voulais me rebeller; J’étais juste amoureux de la musique. Je ne pouvais pas me concentrer sur autre chose. Je me relâchais à l’école et à d’autres choses dans lesquelles je n’étais pas censé me relâcher à cause de mon amour pour la musique. J’ai dû me battre pour ça. C’est ce que je savais que j’étais destiné à faire. J’apprenais à enregistrer, donc je me relâchais dans d’autres choses. La musique a pris le dessus« , a-t-il confié dans une live-vidéo sur Instagram avec Grammy Museum.

A lire aussi : Coronavirus : Batman testé positif

Révélé au monde en 2011 avec le célèbre titre « Dami Duro », David Adeleke révèle avoir enregistré le morceau tout seul sans l’aide de personne. «Au début de ma carrière, j’étais comme un one-man-band. Pour mon premier single, j’ai fait le beat et enregistré la chanson moi-même. J’ai moi-même mixé et maîtrisé Dami duro. Quand je grandissais, je ne pouvais plus tout faire moi-même. Maintenant, j’ai des producteurs et des auteurs-compositeurs avec qui je travaille« , a-t-il ajouté.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Laisser un commentaire
haut de page