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La crise post-électorale en Bolivie ne connait pas encore de répit malgré la démission du président Evo Morales. Vendredi 15 novembre, des heurts ont éclaté entre les partisans du chef d’Etat déchu et les forces de défense et de sécurité.

Cinq partisans du président Evo Morales ont été tués ce vendredi dans des heurts avec la police. Dans les rues, les pro-Morales appellent au retour de leur leader contraint à la démission puis et à l’exil. Selon Hespress, la police et l’armée ont procédé à des tirs à balles réelles sur la foule tuant cinq manifestants. Cette crise s’est envenimée après la démission du chef d’Etat constitutionnellement élu pour son quatrième mandat.

Ces nouveaux décès accroît le nombre de victimes depuis le début de la contestation. Exilé au Mexique, Evo Morales a indiqué jeudi dans une interview, qu’il reste la seule personne capable de pacifier le pays et ramener la paix. Il a même demandé au parlement de rejeté sa lettre de démission, condition sine qua none pour son retour à La Paz. Jeanine Añez, la présidente par intérim a exclu une nouvelle candidature de Morales aux prochaines élections.

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