Politique

Bénin: voici ce que pense Théophile Yarou de l’avenir du parti FCBE

Le parti Forces cauris pour un Bénin émergent (FCBE) de l’ancien président de la république Boni Yayi dispose désormais de son récépissé définitif. L’obtention de ce document qui donne une existence juridique à ce parti politique a été effective après avoir écarté certains cadres du bureau politique. Après l’obtention de ce document, l’actuel 1er secrétaire exécutif national adjoint, Théophile Yarou s’est prononcé sur l’avenir de sa formation politique.

Même si Paul Hounkpè, actuel secrétaire exécutif national, Théophile Yarou, 1er secrétaire exécutif national adjoint, et les autres, sont critiqués et traités de tous les noms, ils ont tout de même réussi à obtenir au parti Forces cauris pour un Bénin émergent (FCBE), le document qui lui permet de participer au débat politique. Mais pour en arriver là, il a fallu procéder au remplacement de certains membres du bureau exécutif national qui sont recherchés par la justice, tels que Valentin Djenontin, Komi Koutché et Simplice Codjo respectivement secrétaire exécutif national, 2è et 3è secrétaire exécutif national adjoint. Selon, Paul Hounkpè et Théophile Yarou, l’acte posé n’était pas de mauvaise intention. L’unique objectif poursuit par ces derniers était de permettre à leur famille politique de sortir de la clandestinité.

A en croire l’ancien ministre de la défense, Théophile Yarou, le parti dont l’ex-chef d’Etat Boni Yayi en est le président d’honneur, est une grande formation politique qui ne saurait évoluer dans l’illégalité. Pour lui, l’ambition qu’ils nourrissent pour leur famille politique en faisant leur possible pour que le parti ait son récépissé définitif, est très grande. « Nous voulons faire de Force Cauris pour un Bénin Emergent (FCBE), un grand parti d’envergure nationale et internationale, véritablement démocratique et réformiste dans lequel tous les militants sont égaux en droit et en devoir. Et où le leadership politique est reconnu et promu au détriment du népotisme, de l’ethnocentrisme, du régionalisme et de toute autre forme de favoritisme », a-t-il fait fait savoir.

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