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Dj Arafat : un mois après le décès du Daïshikan, Betika continue de pleurer la mort de « son fils »

Diva de la musique ivoirienne, Bétika n’a pas fini de faire le deuil de Dj Arafat décédé des suites d’un terrible accident de circulation. Très proche du Daïshikan, l’interprète de Fakaloh a rendu un vibrant hommage à son fils et a prié pour le repos de son âme.

Près d’un mois après, le décès prématuré de Dj Arafat continue de susciter l’émoi au sein de ses proches. Amie proche de Tina Glamour, la mère du Daïshikan, Bétika ne s’en remet toujours pas. Grande voix de la musique ivoirienne, la chanteuse fut l’une des premières personnes à réagir à la mort du célèbre artiste. Un triste moment sur lequel elle est revenue avec peine. « On m’a vu pleurer Arafat à la télévision. Oui, j’ai très mal de son départ très prématuré. Arafat est notre fils. Sa mère Tina est comme une grande sœur pour moi. Je n’ai jamais eu de problèmes avec Tina. Je l’ai toujours respectée. Je l’appelle affectueusement « la grando’’. Son fils est donc aussi mon fils. Je partage sa douleur », a-t-elle écrit sur sa page Facebook.

Pour elle, la mort du leader de la « Chine populaire » laissera indéniablement un vide dans son cœur car l’illustre disparu, au delà de ses frasques est un « enfant amour » qui lui vouait un respect sans condition. « Arafat m’appelait « maman ». Il me vouait beaucoup de respect. Je n’aimais pas le voir faire les parades à moto. Je l’engueulais parfois comme une mère quand je le voyais le faire. Du coup quand il m’apercevait, il s’arrêtait et venait vers moi me saluer poliment. Arafat est un enfant amour », a-t-elle ajouté avant de prier pour l’âme de son « fils » : «(…)  j’ai passé en revue certaines de ses vidéos. Il donnait mais en recevait peu en retour. Il exprimait son état d’âme, son mal être à travers ses vidéos quand il avait mal. Ce genre de personnes directes est parfois taxé de palabreuses mais dans le fond elles sont vraies et pas hypocrites. Paix à ton âme, mon fils ».

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