Les élections législatives du 28 avril dernier qui ont été organisées sans la participation des partis politiques de l’opposition, ont été vivement contestées par une partie de la population créant ainsi des cas de violences à Cotonou les 1er et 2 mai derniers. Une situation face à laquelle les forces de l’ordre ont arrêté les présumés auteurs dont quelques uns viennent de bénéficier d’une liberté provisoire.
Ils sont 17 des 60 inculpés lors des violences enregistrées les 1er et 2 mai derniers à Cotonou, a bénéficié d’une liberté provisoire. Selon l’information relayée par Frissons radio, ces 17 sont provisoirement libres depuis le vendredi 26 juillet dernier. En détention depuis le 29 mai 2019 pour avoir été considérés comme des présumés auteurs des violences post-électorales dans la ville de Cotonou, les 17 individus qui viennent d’être libérés sur les 60, se mettront toujours à la disposition de la justice pour la suite des enquêtes.