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Bénin – BAC 2019: Akpro-Missérété accueille le lancement officiel

Le Mercredi 19 juin 2019, sur toute l’étendue du territoire national se dérouleront les épreuves écrites du Baccalauréats de l’enseignement secondaire du second degré (BAC). Pour ce premier diplôme de l’enseignement supérieur, c’est la commune d’Akpro-Missérété dans le département de l’Ouémé qui abrite le lancement officiel des épreuves écrites.

Dans deux jours (19 juin 2019), les candidats iront à l’assaut du Baccalauréat. Si du côté des apprenants, l’heure est aux dernières révisions, du côté de la direction de l’office du Bac, tout est prêt pour cet examen. C’est en tout cas ce qu’a annoncé dimanche le directeur de l’office du Bac Alphonse da Silva. En effet, sur l’émission Grand Format de Canal 3, le DG DOB a rassuré les candidats et parents d’élèves de ce que le DOB jouera son rôle comme à chaque fois tout en rappelant aux apprenants que le BAC est un examen comme tout autre et non un concours. «Nous sommes prêts pour le Baccalauréat. Je viens de terminer le tirage des épreuves amblyopes avec les appareils de braille», a informé le directeur de l’Office du Bac. Pour lui, le Bac, «C’est la rencontre entre les candidats et les épreuves. C’est une composition normale. Le Bac n’est pas compliqué ».Le candidat qui a régulièrement appris ses leçons tout au long de l’année doit pouvoir s’en sortir. Autrement dit, le candidat moyen tirera son épingle du jeu, a l’en croire. Aussi, invite-il les candidats à ne pas oublier les petits détails très importants comme se rendre tôt dans les centres de composition et avoir toujours sur lui, sa convocation et sa pièce d’identité.

Concernant les convocations en ligne, Alphonse da Silva a expliqué que le DOB est toujours en quête de simplifier davantage les tracasseries administratives aux apprenants et aux parents d’élèves. Cette innovation, loin d’être une grande première au Bénin, est l’une des nombreuses réformes entamées par le DOB depuis quelques années, a-t-il indiqué. «Nous travaillons à dématérialiser les relations entre l’administration de l’Office du Baccalauréat et les autres acteurs. C’est une directive de l’Uemoa qui est appliquée grâce au génie béninois», a souligné Alphonse da Silva.

Il ajoute que cette année, c’est le ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Marie-Odile Attanasso qui assure la présidence de la commission d’harmonisation du Bac. Un chantier d’harmonisation du Bac qui, selon lui, évolue très bien sous sa houlette.

 

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