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Santé: ‘’Avoir beaucoup d’enfants nuit gravement à la santé’’ selon une étude

La santé représente ce qu’on a de plus chère dans la vie. Notre santé requiert des efforts de contrôle scrupuleux de nos plaisirs. Ainsi, le bien être de notre organisme dépend de notre alimentation, sommeil, sexualité, relations interpersonnelles et des  activités sportives. La mauvaise gestion d’une parmi ces activités pourrait être fatale à notre vie selon la sociologue  Christine Castelain.

Être parents, c’est accueillir la vie pour ce qu’elle est, être au service de la vie et de son éducation. Ainsi, suffit- il d’en avoir beaucoup avant d’être heureux ? L’enfant est-il un objet de transfert, de projection des parents qui lui font supporter alors une pression redoutable ? La réponse à ces questions est bien relative que pertinente.

En effet, pour le psychologue Christian Castelain, dans son ouvrage Le ménage, la fée, la sorcière et l’homme nouveau, paru en 2013, le rabaissement de la fécondité est un don suprême qu’il faut absolument demander pour mieux vivre. Car un enfant, constitue un coût et des dépenses pour soi puis pour la société. Dès sa naissance, l’enfant a un coût financier et un coût cognitif  qui constitue l’ensemble des compétences et connaissances à acquérir pour être un parent digne du nom. Il constitue aussi un coût professionnel. Ainsi, à la naissance d’un enfant, les parents deviennent plus indépendants au point où leur besoins personnels est parfois scandalisé. La mère surtout n’a plus le temps pour ses activités sportives, ses propres plaisirs sont aussi sacrifiés pour les soins de son enfant.

Cependant, pourra-on faire beaucoup d’enfants pour sacrifier notre bonheur à nous ? Une étude va dans le sens de cette question et démontre qu’avoir plusieurs d’enfants augmente l’insatisfaction. Car plus le nombre d’enfants augmente, plus le nombre de problèmes et de besoins croient. Ainsi, notre psychologie prend un coût parce qu’il sera chargé de problèmes de ces nombreux d’enfants, de son partenaire et de sa famille. Ce qui pouvait impacter nos cellules et nous causer des maladies. On comprend alors que la quantité d’enfant n’est pas synonyme de bonheur selon Christine.

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