Faits divers

Héritage de Johnny Hallyday: « Trois set » trois victoires pour Laura Smet et David Halyday

L’épineux dossier de l’héritage de Johnny Hallyday a connu une nouvelle avancée ce Mardi 28 mai 2019, au tribunal de grande instance de Nanterre qui a statué sur la compétence de la justice française de juger de cette affaire.

Le tribunal de grande instance de Nanterre a tranché et donné sa sentence le Mardi 28 mai 2019, dans le dossier de la succession de Johnny Halyday en déclarant la justice française habilitée pour juger l’affaire. Alors que dans ce fameux dossier judiciaire, ils avaient déjà obtenu le gel des avoirs de leur père et le transfert d’actifs de Johnny Halyday dans le trust, cette décision de Nanterre sonne comme un troisième triomphe pour David et Laura, qui s’opposaient depuis que leur père a rejoint l’au-delà au testament qu’il a laissé, et dont les conséquences devraient les empêcher d’hériter au profit de Laeticia veuve, dernière épouse du taulier, à qui revient la douaire selon ledit testament. En effet, en soutenant que le Taulier était en réalité un « résident habituel » français, la justice française fait ainsi manger le sable à sa veuve envers qui Halyday a plus tôt émis l’intention de léguer son patrimoine.
Mais Laeticia Hallyday a immédiatement fait savoir qu’elle ferait appel de cette décision. Par l’entremise de ses conseils, la veuve de Johnny Hallyday a sollicité une naturalisation américaine et argue que son époux ferait autant s’il vivait encore.

Ainsi, Maître Arnaud Albou, le représentant de Laeticia Hallyday a soutenu que au cœur de sa maladie, le Taulier n’avait pas voulu mourir en France. « Il a fait le choix de suivre un nouveau traitement en France. Il n’avait qu’une envie, c’était de rentrer aux États-Unis. Il ne comptait pas mourir en France. Et jamais il n’a jamais demandé d’hommage national ». Il poursuit en détaillant qu’en 2015, il a passé 188 jours aux États-Unis contre 158 en France. Et en 2016, 195 jours aux États-Unis contre 168 en France. Mais malgré sa défense, la justice française a gagné le pari.

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