A travers un communiqué posté sur sa page facebook, le bureau politique de l’Union Sociale Libérale (USL) dénonce les arrestations arbitraires, les actes d’intimidations dont sont quotidiennement victimes ses militants et les autres leaders de l’opposition. Le bureau politique cite comme exemple le cas du « porte-parole de l’USL Donklam Aballo dont les menaces de mort anonymes par téléphone se sont accentuées depuis sa dernière sortie médiatique du dimanche 12 mai 2019 ». Tout en prenant à témoin l’opinion publique nationale et internationale sur ces actes d’intimidation et de tortures morales exercés sur les membres de l’opposition et particulièrement sur les membres du parti USL qui dénonce « »le coup d’Etat institutionnel de Patrice Talon« » et de son gouvernement contre la démocratie béninoise, le bureau politique de l’USL tiendra pour responsable à le croire, le gouvernement et son chef de tout enlèvement, toute disparition et autres malheurs dont les opposants pourront être victimes.
Tout en réaffirmant son soutien aux autres forces politiques engagées dans la lutte pour l’annulation du scrutin législatif, il invite le peuple béninois à poursuivre la lutte jusqu’à la capitulation du régime de la rupture.
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