Les membres de la commission sur le sida au parlement ougandais font face à un dilemme surprenant. De plus en plus d’habitants se plaignent de la taille trop petite des préservatifs qui sont vendus dans le pays.
Vraiment, chaque pays à ses réalités. Alors qu’au Bénin, les remèdes pour agrandir son p3nis inondent les marchés, en Ouganda par contre, c’est la taille trop grande du s*xe au point de déchirer des préservatifs qui préoccupe les autorités de ce pays d’Afrique de l’Est.
En effet, les députés ougandais membres de la commission parlementaire sur le sida, ont reçu plusieurs plaintes d’habitants fâchés, à cause de la taille trop petite des préservatifs pour leur appareil génital. Les doléances viennent surtout des régions majoritairement frappées par l’épidémie du sida. Un véritable casse-tête pour les autorités de la santé publique, d’autant plus que la taille des préservatifs est unique. En fait, ce n’est pas la taille du préservatif qui est en cause, mais plutôt les organes s*xuels de nombreux Ougandais qui sont trop grands, pour être convenablement protégés par les préservatifs vendus en commerce.
Avec ces membres énormes, il est difficile pour eux d’enfiler correctement les préservatifs de taille unique qui leur sont proposés dans le pays. C’est ainsi que lors de rapports s*xuels, beaucoup de préservatifs explosent, rendant leur protection totalement inutile, a expliqué le député Tom Aza à la chaîne de télévision NTV-Uganda.
La seule alternative possible est donc de recommander aux fournisseurs de préservatifs, de fabriquer des capotes équivalentes à la taille moyenne des p3nis ougandais. Les parlementaires vont devoir s’atteler rapidement pour remédier à ce problème de santé assez rare.
Rappelons que l’Ouganda est l’un des pays les plus touchés par le virus du sida. A Kampala, la capitale du pays, 40 % des habitants sont séropositifs ; dans certaines provinces, ce taux atteint 50 %, voire 60 %. En l’absence de traitement efficace, les préservatifs sont l’un des moyens les plus sûrs, utilisés par la population pour prévenir cette ‘’peste ‘’ des temps modernes.