La jeune fille a été victime de viol de la part de son père, qui l’a finalement enceinté.Très abattue et ne sachant que faire, elle s’est confiée à afrikmag pour exprimer ses déboires.
Du nom de Diane, la jeune fille a été victime de viol, à l’âge de 14 ans, de la part de son père, sous prétexte de tester sa virginité. Le père de la fille a commis cette salle besogne, au cour d’une nuit profonde, où il y avait même eu coupure d’électricité.. « il y avait coupure d’électricité. Je ne dormais pas. J’ai senti quelqu’un s’asseoir sur mon dos. Surprise, j’ai demandé qui c’était. Il ne répond pas, mais je savais que c’était mon père, parce que la porte de la chambre était fermée à clef. Il a menacé de me tuer si jamais je criais ou le dénonçais. Il a eu des rapp0rts s’-xuels avec moi trois fois de suite. La quatrième fois, il a échoué. Je jure que je n’ai jamais eu de rapp0rt sexuel avec un garçon. Je ne sors même pas de chez moi. Il attendait que ma mère s’endorme pour abuser de moi. J’ai finalement contracté une grossesse et ma mère a porté plainte » a-t-elle narré.
Le père a donc été condamné à 10 ans de prison ferme, selon l’article 320 du code pénal, qui dispose que «tout geste, attouchement, caresse, manipulation pornographique, utilisation d’images ou de sons par un procédé technique quelconque à des fins s*xuelles sur un enfant de moins de seize ans de l’un ou l’autre sexe constitue l’acte pédophile puni d’un emprisonnement de cinq à dix ans». Cette pratique est donc considérée comme de l’inceste, selon le deuxième alinéa de cet article, qui stipule que : «si le délit a été commis par un ascendant ou une personne ayant autorité sur le mineur, le maximum de la peine (10 ans) sera toujours prononcé. La tentative est punie comme délit consommé». Socialement et psychologiquement, la fille est déboussolée, sans aucune option, car contrainte de garder le bébé qui naîtra, et qui aura pour père, son grand père.
