L’ex-ministre de la microfinance sera fixé sur son sort le jeudi 1er Février prochain dans l’affaire du Fond National de la microfinance où on lui reproche une mauvaise gestion lorsqu’il était aux commandes sous Yayi. C’est la CRIET qui est habilitée à connaître de cette affaire et décidera de son sort.
Le 31 janvier sera une journée où Komi Koutché sera fixé sur son sort selon Frison radio. En effet, ce jeudi à Madrid, une séance d’analyse de la demande d’extradition du gouvernement béninois au sujet de l’ancien ministre des finances est en étude. S’il s’avérait qu’il est extradé, la cours de répression des infractions économique et du terrorisme jugera en l’acquittant ou le condamnant.
Mais pour l’instant, Komi Koutché peut jouir des délices de la liberté, mais une liberté conditionnelle à Madrid en Espagne, puisque pour le moment, il ne peut librement quitter l’Espagne étant sous le coup d’un mandat d’arrêt international. Son avocat Me Luis Chabaneix habile et avisé pour le défendre estime que l’Espagne peut toute fois s’opposer à sa demande d’extradition. Il confie à ce propos à Jeune Afrique que « L’Espagne a parfaitement le droit de s’opposer à la demande d’extradition du Bénin. Si c’est le cas, le dossier sera ainsi clos ».