Venu faire la promotion de son nouvel album ‘Surnaturel’ dans l’émission le Vestiaire sur RMC, Rohff en a profité pour donner son point de vue sur la brouille concernant Franck Ribéry.
Lé 3 janvier dernier, Franck Ribéry a posté sur son compte instagram, une vidéo sur laquelle on le voit manger une entrecôte recouverte d’or à 12 000 euros dans l’un des restaurants du célèbre Salt Bae, Nusret Gökçe .La vidéo avait rapidement fait le tour de la toile, déclenchant des critiques virulentes de la part des internautes et de quelques personnalités outrées par la publication. Sur Twitter, le joueur du Bayern Munich avait alors répondu de manière acerbe aux commentaires. Face à cette polémique qui s’envenime à laquelle s’est mêlé son club qui l’a sanctionné, l’ancien joueur de l’Equipe de France a eu le soutien de plusieurs artistes dont le célèbre chanteur Rohff.
Sur l’émission le Vestiaire sur RMC, le rappeur français fustige l’acharnement dont fait l’objet l’ailier du Bayern. « Il m’a écrit depuis l’affaire et franchement il en a marre, il a envie qu’on le laisse tranquille. Cette affaire c’est du délit de sale gueule, un mépris de classe. Tout le monde est passé dans ce restaurant, Pogba, Messi… », a-t-il déclaré.
El Padre révèle qu’il est très proche de l’ancien joueur de Marseille avec qui il entretient de très bonne relation. « (…) Je lui ai répondu qu’on allait se trouver un pâtissier pour faire un gâteau en forme de Lamborghini, avec un pot d’échappement Dior et qu’on allait déguster ça ensemble ! », a indiqué le rappeur invité dans l’émission le Vestiaire sur RMC Sport avant de préciser que les médias doivent surfer sur le coté positif de l’enfant de Boulogne-sur-Mer et non épier ses moindres faits et gestes. « Il fait ce qu’il veut de son argent. C’est quelqu’un de très généreux, qui donne aux charités mais ça personne n’en parle. On parle rarement du positif. (…) Sur le côté boycotté, mal aimé, je me retrouve carrément en lui (…) Le moindre petit truc est bon pour le détruire, le massacrer. », s’est-il insurgé.
