Après le cambriolage de sa résidence de Marnes-la-Coquette, la veuve de Johnny Hallyday soupçonnerait des proches d’avoir commis le méfait et se méfie de son entourage.
Il y a bientôt un an, le 5 décembre 2018, Johnny Hallyday, le Taulier de la chanson française atteint d’un cancer du poumon, nous a quittés à l’âge de 74 ans. Sa résidence de la Savannah, à Marnes-la-Coquettes, est le lieu où il s’est éteint laissant derrière lui non seulement une immense carrière, mais aussi ce qui est devenu une terrible guerre d’héritage entre Laeticia d’une part, ainsi que Laura et David d’autre part. Mais près d’un an après la disparition c’est bien une triste nouvelle que nous apprends la veuve Laeticia Hallyday, celle du cambriolage de la villa à Marnes-la-Coquettes de 900m2. Dans la nuit du lundi 19 à mardi 20 novembre 2018, plusieurs hommes se sont en effet introduits dans la demeure pour y voler des biens précieux.
Selon les informations qui se recoupent, deux hommes auraient pénétré les lieux, pendant qu’un troisième attendait dans une fourgonnette. Et ils seraient repartis avec un sacré butin. Parmi les objets volés : des dizaines de montres et de bijoux de valeur. Et comme si le choc n’était pas suffisant pour Laeticia, qui craint dorénavant pour sa sécurité, il semblerait que ce soient des proches qui auraient commis le crime.
Ce qui a mis la puce à l’oreille de la veuve de 43 ans, c’est tout simplement que les voleurs connaissaient parfaitement les lieux. Il s’agissait d’un « commando extrêmement bien renseigné », qui était à la recherche d’un butin bien spécial. L’objet de leur désir ? Des « documents confidentiels », dont la teneur n’a pour le moment pas été révélée. « Elle se demande qui a bien pu mandater ce commando et n’ose imaginer que cela puisse être l’acte d’un membre de son entourage », affirme un proche de Laeticia. Et pour cause, puisque les malfaiteurs savaient parfaitement où se trouvaient les deux coffres-forts de la maison, à savoir dans la penderie de l’immense dressing. Une information que seul le proche entourage aurait pu détenir.
