Un nouveau rebondissement dans l’affaire de viol de Justine C. Boyou, la fillette de Guitrozon, présumée violée par son instituteur, Fulgence Yao Bouquant.
A travers un communiqué, le procureur de la république ivoirienne près le tribunal de première instance de Man, a confirmé le décès de la fillette. En effet, le procureur a précisé que : ‟ l’examen a établi que la victime souffrait d’une méningite décapitée d’évolution défavorable. Malheureusement, elle en est décédée ce vendredi 14 septembre 2018“.
Par rapport à cette affaire de viol, un flou est entretenu. À en croire ce même communiqué, les examens réalisés n’ont pas permis d’affirmer une relation sexuelle vaginale complète, mais n’exclut cependant pas toute autre forme de rapprochement sexuel.
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Il faut rappeler que
‟le 07 septembre 2018, le commissaire de police de Duekoué a porté à la connaissance du substitut résidant près du tribunal de Guiglo, des faits de violence sexuelle commise sur une gamine âgée de huit ans. Les premières investigations ont mis en cause le sieur Yao Fulgence Bouquant, instituteur qui a été immédiatement interpellé.
Par ailleurs, la victime se trouvant dans un état comateux, a été évacuée au service des urgences de l’hôpital mère-enfant de Bingerville. Les médecins requis pour l’examiner ont fait les constatations qui n’ont pas permis d’affirmer une relation sexuelle vaginale complète, sans exclure toute autre forme de rapprochement sexuel“,
laisse voir le communiqué.
Selon Joseph N. Niamke, le procureur, le sieur Yao Fulgence Bouquant a été mis sous mandat de dépôt. Ce mandat de dépôt a été précédé d’une information judiciaire devant le juge d’instruction de la section de Guiglo.
