L’affaire portant sur l’agression violente et répréhensible de la star du Coupé décalé Dj Arafat le jeudi 6 septembre à la sortie d’un bar à Angré, où, il a jeté tout son dévolu sur l’animateur, Soumangourou Kanté, est loin de connaitre son épilogue aussi vite qu’on le pensait. Pour cause, la victime de ladite scène macabre Soumangourou Kanté, reste toujours droit dans ses bottes.
Dans une interview accordée au média « Vibe Radio », Soumangourou Kanté, la victime de la scène violente survenue aux environs de 05h du matin dans un bar de la capitale ivoirienne, a été claire dans ses propos. En effet, Il n’est pas question de céder à une quelconque intimidation ou de chantage pour l’animateur Soumangourou Kanté. Ce dernier est déterminé à tout faire pour que la justice soit loyalement faite, sur l’affaire portant bastonnade et humiliation sans précédente dont il a été victime de la part de la plus haute célébrité de la musique ivoirienne Dj Arafat.
A cet effet, l’animateur Soumangourou Kanté, 6 jours après avoir déposé sa plainte contre le chef de la Yôrôgang, a levé un coin de voile sur l’évolution de ladite affaire et se dit prêt à faire des pieds et des mains pour avoir gain de cause : « Pour ma santé, ça va aujourd’hui par la grâce de Dieu. On m’a donné 2 semaines de pause. Je ne travaille pas depuis. En ce qui concerne l’affaire, elle suit bel et bien son cours. Je n’ai rien abandonné comme j’ai cru entendre cela quelque part. Je n’ai pas été aussi intimidé par personne. Je mène tranquillement mes actions afin que justice soit faite », confie Soumangourou.
Plus loin dans sa déclaration, l’animateur Soumangourou Kanté, estime que sa plainte est en passe d’être sur la table du procureur : « Cette affaire, est en ce moment entre les mains de la brigade de recherche. Elle sera dans quelque temps sur le bureau du procureur. En principe ces jours ci, on doit m’appeler pour la suite de l’affaire. J’attends» dit Soumangourou, visiblement serein. ENZO.
Pour rappel, DJ Arafat avait été récemment condamné par la justice ivoirienne à 12 mois de prison ferme assorti d’une amende de 20 millions F Cfa, suivi d’un mandat d’arrêt.