Fraîchement arrivé à la Juventus, le quintuple Ballon d’or Cristiano Ronaldo, fait d’ores et déjà objet de critique. Pour cause, l’ancien président de la Juventus, Luciano Moggi, a estimé qu’il n’aurait jamais dépensé 100 millions d’euros pour faire signer Cristiano Ronaldo à 33 ans.
Transféré cet été à la Juventus pour 100 millions d’euros, dans l’objectif de permettre à la Vieille Dame de décrocher la Ligue des champions au XXIe siècle, le crack portugais Cristiano Ronaldo, peine toujours à retrouver ses marques, à ce début de la saison après deux journées d’affilé dans la Série A. Visiblement, la Juventus a réalisé le coup le plus médiatique du mercato estival avec le transfert de Cristiano suivi d’une satisfaction considérable sur le plan marketing, notamment avec le flux de la vente des maillots de la Vieille Dame. Mais, il n’en demeure pas moins, que la nouvelle recrue , Cristiano Ronaldo ne comble pas pour l’heure, les attentes sportives misées sur sa personne par son nouveau club. Pour cause, Cristiano Ronaldo n’a pas encore débloqué son compteur de but depuis quand il a foulé le sol italien sous le dossard blanc-noir de la Juventus et fait déjà objet de critique.
Pour l’ancien président de la Juventus Luciano Moggi, la star portugaise cristiano Ronaldo, ne vaut pas les 100 millions d’euros débloqués pour son transfert du Real pour la Juve : « je n’aurai jamais dépensé un tel montant pour un joueur de trente-trois ans. De plus, je n’aurai pas annoncé son arrivée avant d’avoir vendu Higuain, un gars qui a mis 20 buts la saison dernière. Et Higuain, je ne l’aurai pas vendu pour moins de 50 millions d’euros», a déploré Luciano Moggi.
Selon l’ancien président de la Juventus, Cristiano Ronaldo a été contacté dans le passé par la Juventus à l’âge de 18 ans, quand il était au Sporting. Mais, le portugais a choisi décliner l’offre de la Vieille Dame et a attendu l’approche de la fin de sa carrière pour offrir ses services à la Juve : «c’était le travail de Fiat et on a été proche de le faire signer. Il avait 18 ans et il jouait encore au Sporting. Ce deal devait inclure un départ de Marcelo Salas dans la direction opposée mais le Chilien a finalement préféré retourner à River Plate. C’est pour ça que cela ne s’est pas fait. À cette époque-là, la Juve était en pleine crise », s’est souvenu Luciano Moggi.
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