Showbiz

Côte d’Ivoire : accusé de plagiat, Molare condamné à une amende de 70 millions fcfa

Accusé de plagiat après saisine de la justice par Linda De Lindsay, l’artiste ivoirien du coupé – décaler Molare a été condamné à payer 70 millions de francs CFA. Molare qui a ainsi donc fait appel de la décision devra prouver qu’il n’a pas plagié les Awards du couper – décaler. Linda De Lindsay défend être la détentrice pour avoir organisé un événement similaire le 25 Juillet 2010.

En effet, Linda De Lindsay a menacé de porter plainte contre Le Molare pour plagiat dans les débuts du lancement de la première édition des Awards du couper-décaler. Pour elle, le concept des Awards du couper-décaler était son idée et donc pas question qu’un quelconque promoteur s’en accapare sans son autorisation préalable. Selon les rapports de first magazine, cette dernière a saisi des avocats depuis la France pour leur confier l’affaire. De même, le Burida avait même été saisi, organisatrice de cet événement qu’elle a enregistré dans cette institution, depuis 2010, la démarche de Linda De Lindsay est de faire reconnaître à Molare qu’il s’est rendu coupable de plagiat.

De la même touche, pour éviter d’étaler l’affaire au tribunal, le Burida avait proposé aux deux parties le camp du Molare et de Linda un règlement à l’amiable. Malheureusement, alors qu’on croyait que les deux parties avaient trouvé un règlement à l’amiable, l’affaire a pris d’autres tournure et a été portée devant les juridictions compétentes. Un premier verdict a été rendu en la faveur de Linda De Lindsay. Les autorités judiciaires selon les mêmes sources auraient condamné Molare à payer 70 millions F Cfa de dommages et intérêts à l’accusée.

Molare n’étant pas satisfait du verdict, aurait fait appel de la décision. Des faits confirmés d’ailleurs par Linda De Lindsay à ces propos. « Nous sommes bien sûr dans la diligence judiciaire qui a rendu un verdict en ma faveur. Bien entendu, mon adversaire a fait appel de la décision. Nous attendons la suite mais je suis détentrice de la déclaration réglementaire des droits sur les Awards du couper-décaler dont la première édition a eu lieu le 25 juillet 2010 au Palais de la Culture de Treichville en présence de mon adversaire qui a reçu un prix ce jour-là et a même donné une prestation », a-t-elle confié à first magazine.

Confiante que la justice dira le droit lors de l’appel, Linda De Lindsay dit se remettre à Dieu. Même si cette édition a changé de dénomination pour devenir « Primud », cela n’empêche pas le procès de suivre son cours. Un autre procès pour plagiat et abus de confiance sur cette nouvelle édition contre Molare serait même en préparation.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Articles similaires

Bouton retour en haut de la page