Très remonté contre julienne Abigbè alias Aladja Ciarath, une béninoise arrêtée le jeudi 20 Juin 2016 pour trafic de drogue en chine, Thierry Sossou s’en est rappelé mardi 24 juillet 2018 dans une publication sur sa page Facebook.
» Il y a un an, j’étais remonté contre la petite chinoise… La LUCARNE DE TITI n’existait pas encore… » a t-il écrit avant de demander les nouvelles de celle qu’il appelle affectueusement la petite chinoise : « des nouvelles de la chino? ».
En effet, il a un an Thierry Sossou avait exprimé son mécontentement contre la médiatisation de la venue de la jeune femme au Bénin. « Je fais partie de ceux qui sont heureux de ton retour au bercail juste pour ta fille. C’est elle qui a le plus souffert dans ta maladresse de dealer. Ta video sur ton retour, je me suis dis que c’est une erreur de gamine et ton entourage du moins ceux qui disent t’aimer ou ta famille te conseillerait de rester loin des cameras » avait – il écrit sur sa page Facebook. Dans sa publication, l’homme estimait n’avoir pas cru à son histoire de 500.000 f cfa de caution qui lui aurait été retourné après qu’elle soit innocentée. Mais aujourd’hui, il tient quand même à avoir les nouvelles de sa compatriote qui malgré tout, reste digne fille du Bénin.
Retour sur l’incarcération de Julienne Abigbè
Pour rappel, la béninoise Julienne Abigbè, directrice de la société de vente de mèches de luxe basée à Cotonou dénommée « Ciara Corporate » a été au cœur d’une affaire de trafic de drogue en Chine le 20 juin 2016 . Elle a été placée en détention dans les geôles de l’empire du milieu avant d’être libérée sous caution. Il lui était reproché d’avoir transporté dans ses bagages, de la drogue. Malgré la quantité de drogue jugée assez faible, la jeune fille de 22 ans a été immédiatement conduite en prison.
Pour sa défense, Ciarath Aladja dit ne pas savoir l’origine de cette quantité de drogue et ne pas pourvoir expliquer la présence dans ses effets. Son démenti ne l’a pas empêché de répondre de son acte conformément à la rigueur de la loi chinoise, qui stipule que tout trafic de drogue est répréhensible d’une condamnation à mort.