Le développement de la technologie a embrassé plusieurs domaines avec des impacts positifs et négatifs.
C’est le cas de l’écriture à la main qui cède de plus en plus la place à l’écriture électronique au risque même de disparaître. En effet, selon les recherches des spécialistes présentées ci-dessous, cinq choses arrivent au cerveau essentiellement sur l’œil, la capacité d’écrire et la mémoire quand on écrit de moins en moins. Découvrez-les.
1-La motricité et la coordination
La motricité est l’ensemble de fonctions corporelles assurées par le système locomoteur et le système nerveux permettant les mouvements et les déplacements.
Selon les scientifiques, la motricité et la coordination se détériorent et on lit moins bien quand on arrête d’écrire.
De ce fait cet exercice affecte l’ensemble des mouvements liés à ces fonctions du corps.
2-L’œil
L’œil est le premier organe à transmettre l’information au cerveau pour traitement. Alors moins on écrit, on a de fortes chances d’être moins habiles. L’écriture joue un rôle très important sur les fonctions cognitives de l’homme.
3-La capacité de compréhension
Selon l’analyse des chercheurs, la compréhension d’un texte écrit sera beaucoup plus compliquée pour ceux qui n’écrivent que très peu ou pas du tout à la main. Même si avec l’avancée de la technologie, les conséquences sont minimes, les chercheurs affirment qu’un homme qui s’adonne peu à l’écriture va manquer un entraînement cérébral supplémentaire.
4-Les fautes d’orthographe et de grammaire
On observe généralement les fautes d’orthographes et de grammaire chez les personnes qui lisent et écrivent rarement.
Les chercheurs révèlent qu’à l’avenir, l’écriture d’un individu instruit, qui peut encore transmettre une information sans ordinateur, sera non seulement quasiment illisible, mais comportera en plus de nombreuses erreurs d’orthographe et grammaticales.
5-L’apprentissage et la mémoire
De nombreuses études indiquent qu’on se souvient mieux d’un texte écrit à la main. Mais avec l’avènement d’un monde sans écriture manuelle, tout ceci va disparaître.
Les chercheurs garantissent la viabilité d’un meilleur apprentissage par des stimulations modérées et régulières, plutôt que par une stimulation exceptionnelle et intense.