Arafat Dj ne s’entend visiblement jamais avec ses concurrents du mouvement coupé décalé, mouvement dont il est actuellement le numéro 1.
La récente action dans la guère de leadership que les stars du coupé décalé font entre eux, est celle contre Ariel Sheney, à qui il a refusé son soutien au cours de son concert du premier mai, qui est censé lancé la carrière solo de ce dernier. Après ce refus de soutenir son ancien acolyte de la Yorogang, Arafat DJ s’est permis de critiquer la prestation de ce dernier au cours de son concert. C’est donc dans cet ordre d’idées qu’il a posté sur son compte Instagram : « Concert de Judas au même endroit vu de mon drone espion. En plus les tickets étaient à 2000 francs à la dernière minute. On ne sait même plus où sont ceux de 10.000 et ceux de 5.000 ».
Par ailleurs, autant Arafat lance des piques à ses artistes du mouvement, autant il en reçoit de la part de ces derniers. Car, récemment, il a subit les assauts de Serge Beynaud, Debordo Leekunfa, ou encore ceux de son ancien danseur BB sans os. Parce que tous ces artistes pensent qu’il est un homme non seulement « méchant », et « arrogant », mais certains pensent aussi que c’est le diable qu’il adore a relayé abidjanshow.com. Mais face à tous ses remarques et « insultes » à son endroit, le Beerus Sama à essayer de se défendre. C’est ce qui le pousse d’ailleurs à déclarer « On dit que je suis arrogant, que je suis impoli, que j’adore le diable, que je dénigre mes collègues. Bref. C’est toujours à moi qu’on attribue ce genre de méchancetés. On dit tout et n’importe quoi de moi. On veut me mettre les bâtons dans les roues. Tout ce que je fais de bien n’est jamais reconnu ».
C’est donc très remonté qu’il a dénoncé ses supposés détracteurs, avant de prévenir ces derniers. « Je continue malgré tout d’être le numéro un du Coupé-Décalé. On dit que j’adore le diable mais le diable n’est pas le numéro un du monde entier. Le numéro un est notre créateur que j’adore : Dieu. Je ne suis pas méchant, mais je deviens méchant quand on veut me faire du mal ».