Existant depuis plusieurs siècles, la polyandrie a avec le temps disparu de certaines tribus. Par définition, contrairement à la polygamie ou c’est l’homme qui a plusieurs femmes, la polyandrie est le statut social d’une femme qui a plusieurs époux. Cette pratique est toujours récurrente dans quatre pays selon le magazine Elle.
Selon l’article consacré par ledit magazine à ce phénomène, près de 60 % des enfants nés dans la tribu Ache ont un ou deux pères secondaires au Paraguay. Mais chez les Bashilélé en République Démocratique du Congo, une coutume permet aux congolaises d’avoir plusieurs maris à la faveur d’une mise en scène.
Le troisième pays qui continue avec cette pratique est la chine précisément chez les Mosuo, une ethnie du sud-ouest de la Chine. Selon le magazine « Elle » relayé par Afrikmag, les femmes ont le droit de choisir un amant par soir. Elles ont ainsi le choix entre un partenaire pour certaines, et jusqu’à 100 pour d’autres. La même source informe que dans leur système d’organisation, les femmes ont beaucoup de pouvoirs, même les noms de famille sont transmis en fonction de la mère.
Pour le magazine « Elle », au Népal Chez les Tre-Bas du Tibet, la polyandrie est pratiquée lorsqu’une famille n’a que des filles et aucun fils. L’objectif ici est de préserver les propriétés de la famille. C’est d’ailleurs pour cette raison que , chez eux, c’est la femme qui hérite des terres de la famille. Pour éviter les problèmes, quand vient le moment de se coucher, celui qui est avec l’épouse laisse ses chaussures devant la porte pour signaler ainsi sa présence.