Un ivoirien est activement recherché par la police sur recommandation de sa banque. Il lui est reproché d’être porté disparu après avoir reçu par erreur de la part de sa banque 248.000 euros dans son compte.
Porté disparu après avoir vidé son compte bancaire, les faits se sont déroulés en Espagne où la banque BBVA accuse son client Ivoirien de ne pas avoir signalé un transfert par erreur de 162.millions de francs CFA mais d’avoir plutôt retiré une grande partie de cet argent avant de disparaître. Selon nos confrères de http://hits2babi.com, l’accusé a retiré pendant une semaine dans différentes agences de la banque BBVA plus de 150.000 euros et opéré différents transferts bancaires à des comptes en France.
La même source informe qu’il a pu retirer 240.000 euros au total. Comme si cela ne suffisait pas, avec les 8000 euros restants, il a fait divers achats et passer des jours dans un grand hôtel avec ses amis. Pour l’heure, l’accusé est injoignable au téléphone. C’est pourquoi, la banque a déposé une plainte à la police, qui s’est présentée à son domicile. Mais contre toute attente, comme l’indique http://hits2babi.com, ses deux amis d’origine africaine aussi, qui partageaient l’appartement avec lui, expliquent n’avoir pas eu de ses nouvelles depuis une dizaine de jours.
Une chance selon ses compatriotes…
L’Ivoirien a quitté l’Espagne pour la France par train pour ne pas laisser des traces. C’est depuis Paris, qu’il s’est envolé pour son pays. Il s’agit selon ses compatriotes d’une chance qui n’arrive qu’une fois dans la vie. « On est venu ici se chercher, et le môgo a trouvé sa part » commente Abdil, un ami de l’Ivoirien relayé par http://hits2babi.com. Ce dernier aurait bien voulu être à la place de l’accusé. Pour l’heure, c’est un délit qui mérite d’être puni selon la police. Par contre ses compatriote attribue cette erreur de la banque à la chance divine. « Que ma banque fasse aussi la même erreur avec moi » a prié un Malien.
En effet, l’Ivoirien vivait en Espagne depuis cinq ans et était au chômage comme bon nombre de ses compatriotes. Il s’était lancé dans le business de convoyeur des véhicules à destination de son pays. Deux fois dans le mois, il traversait le Maroc, la Mauritanie, le Mali au volant des véhicules qu’il achetait pour ses compatriotes vivant au pays.