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Confidence : « J’ai fait l’irréparable avec le mécanicien de mon mari »

Mon mari est un homme malade de jalousie. Pour me garder pour lui seul, il me maintient presque en prison : pas de sortie, pas d’amies, pas de téléphone portable bref, je suis sa chose à lui tout seul. Cette situation pour le moins inconfortable m’agaçait réellement, mais que pouvais-je contre le tout puissant A. Franck?

 

Un jour, j’avais attaché ma serviette prête à prendre mon bain quand on sonna au portail. Le gardien et la bonne étaient sortis faire des courses pour mon mari. Ce dernier, certainement occupé me cria de son bureau de maison d’ouvrir la porte et que certainement le gardien était de retour. Je tirai sur le gros portail en fer sans même demander qui était là. J’eue la surprise de voir son mécanicien. Il me dévora des regards ne sachant pas quoi dire. Je savais que je faisais beaucoup d’impressions sur les hommes. Il entra et bafouilla quelque chose à propos de la voiture du patron. Je l’installai au garage et je rentrai pour appeler mon mari.

 

A mon retour de la douche, mon mari était parti au travail. Le mécanicien quant à lui s’activait sous la voiture de Franck. A dire vrai, ce fameux mécanicien n’était pas mal. Il était bien bâti avec un beau  sourire que j’adorais beaucoup.

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La semaine suivante, il revint encore à la maison, mais cette fois en l’absence de mon mari qui assistait à un séminaire à Bassam. J’étais dans mon peignoir jaune près de la piscine. Il faisait chaud et je voulais un peu de fraicheur. Je m’assis sur un banc et laissai tomber mon peignoir. Mes seins se dressèrent telle une tour effrontée et mes superbes jambes fuselées restèrent nues.

 

Le mécanicien se mit à me mater d’un air envieux. Je remarquai qu’une bosse se formait sous sa ceinture. Mes jambes étaient croisées, je décidai de les ouvrir un peu plus. La bosse dans le pantalon se précisait, le mécanicien bandait. Je me relevai et m’approchai de lui. Il avalait nerveusement sa salive d’un air gêné. Je passai ma main sur la bosse de son pantalon et j’entrepris d’ouvrir sa fermeture éclaire. Il ne s’y opposa pas, bien au contraire, il m’y aida. Le mécanicien tomba à mes pieds. Nous fîmes l’amour.

 

Je dis au mécanicien que notre aventure s’arrêtait là et que je ne recommencerai plus cela. Il semblait vexé. Il retourna à son garage la tête baissée.

 

C’était une expérience merveilleuse, mais je ne suis plus prête à la recommencer, quoique…

 

J’ai des regrets, j’ai trompé mon homme. Suis-je un diable ou suis-je simplement un Homme, que dis-je, une femme ?

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