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Monaco : Le prince Albert II dévoile sa plus grande satisfaction

En totale confiance avec l’expert ès gotha, qui se trouve être un de ses ami intime, le prince se livre avec sincérité sur « son bonheur intime, son règne et l’avenir du Rocher ». C’est à la veille du 60e anniversaire du prince, que le quotidien ‘’Le Figaro’’ a publié une interview du souverain monégasque menée par Stéphane Bern. En effet, le prince Albert a toutefois encore un peu de mal à en prendre la pleine mesure de l’enchainement de certains événements dans sa vie.

Mais il est serein de franchir ce cap symbolique après « une enfance extraordinaire », une adolescence avec « des hauts et des bas, quelques errements au passage, mais rien de très grave » et le décès de ses parents « . C’est donc une page qui est tournée par le souverain. C’est d’ailleurs pour cela qu’il affirme : « Ça fait drôle parce qu’on ne se sent pas vieillir. (…) Dans ma tête, je me situe entre 15 et 45 ans », avoue-t-il en riant. Et de livrer les secrets de cette jeunesse intérieure : « Je suis perpétuellement dans l’action et le mouvement, je crois que ça aide à rester jeune, non ? D’autant qu’être papa de jeunes enfants, ça aide également à rester en forme ! »

Devenu père à 56 ans, le chef d’Etat arrive certainement à l’heure de dresser le bilan de sa vie de famille vécu avec un bonheur un peu tardive. C’est la raison qui l’amène à faire remarquer : ‘’J’ai une femme merveilleuse, et nous avons le bonheur d’avoir des enfants qui sont une joie de tous les jours. Des jumeaux, c’est quand même très particulier dans le bon sens du terme. Ils sont à un âge incroyablement intéressant’’. C’est dans cet ordre d’idée qu’il dévoile sans hésitation que sa plus grande satisfaction en douze ans de règne est la naissance de ses jumeaux (Le prince héréditaire Jacques et la princesse Gabriella) dont la  princesse Charlène est la mère depuis le 10 décembre 2014, jour de leur naissance.

Plusieurs autres points aussi font sa fierté a rapporté ‘’purepeople.com’’. Entres autres, il met en exergue  l’environnement, la fiscalité monégasque qu’il avait déjà passé en revue en début d’année et, en direct sur le plateau Public du Sénat : « L’une des plus grandes satisfactions, considère-t-il, est d’avoir pu avec le gouvernement faire sortir Monaco de la liste des pays non coopératifs en manière d’échanges, d’informations sur la fiscalité. Une autre belle étape est d’avoir été intimement lié à l’accord de Paris sur le climat et d’avoir pu mettre sur pied ma fondation il y a dix ans. Et puis, cela a été fondamental pour la Principauté, la ratification du renouvellement du traité avec la France, ce traité d’amitié sur tous les sujets qui concernent l’organisation administrative de la Principauté. »

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