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Cameroun : après le rejet de l’ex d’Eto’o, Nathalie Koah , le ministère de la culture s’explique

L’ex conjointe de la légende du football camerounais Nathalie Koah a été rejeté par le ministre des arts et de la culture. Il s’agit selon les médias locaux d’un acte qui s’explique par sa relation amoureuse médiatisée avec la légende du football camerounais Samuel Eto’o fils.

En effet, Nathalie Koah avait sollicité le parrainage du ministère des arts et de la culture pour la deuxième édition du « Art Make Up » qui se tiendra du 02 au 06 avril 2018. Mais, selon nos confrères d’ afrishow, la demande de Nathalie Koah a été rejeté en sa qualité de marraine de la manifestation. La cerise sur le gâteau, c’est que, le comité d’organisation avait accepté parrainé cet événement avant de revenir sur leur position quand ils ont su que la marraine n’était personne d’autre que l’ancienne conjointe de la légende camerounaise Samuel Eto’o.

 

Les clarifications du ministère

 

Au lendemain de cet acte qui a fait couler beaucoup d’encres et de salives, le ministère des arts et de la culture camerounais a tenu à s’expliquer. En effet, le directeur de communication du ministère des Arts et de la Culture a apporté un démenti sur l’implication de ce ministère dans cet événement.

 

 « Les réseaux sociaux et d’autres plateformes numériques servent de véhicule à support visuel de l’événement dénommé Art Make Up 2018. Ledit visuel indique que cette manifestation est placée sous le haut patronage du ministère des arts et de la culture. Je tiens à faire connaitre pour la bonne et juste information de l’opinion publique qu’il n’en est rien. En outre, le patronage ou le parrainage par le MINAC est matérialisé par la délivrance d’un accord de patronage dûment signé par le ministre sur la base d’un dossier pertinemment examiné. En ce qui concerne Art Action Make up 2018, les organisateurs n’en disposent pas et par conséquent, ne peuvent pas bénéficier de l’onction du ministère des arts et de la culture. De ce fait, le MINAC décline sa responsabilité quant aux préjudices que cela pourrait causer les uns pour les autres » peut-on lire dans le communiqué de Clavère Nken.

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