Incroyable mais vrai. Les faits se sont déroulés à porto Novo capital administrative du Bénin où le fondateur de l’Eglise du Christianisme Céleste, feu Oshofa s’est révélé à l’une des fidèle de l’Eglise du Christianisme Céleste.
En effet, feu Oshofa s’est révélé à une dame à Afanmê dans l’arrondissement de Bonou. Selon nos recoupements, la dame en question priait quand il lui a été annoncé la visite d’étrangers. C’est ainsi qu-après la prière, elle s’est rendue à la porte pour voir lesdits étrangers. Mais contre toute attente, il n’y avait personne à la porte. La même scène s’est produite une seconde fois mais surprise fut-elle de ne voir personne. Alors qu’elle se demandait ce qui n’allait pas, elle entendit une voix intérieure qui lui demanda de jeter un coup d’oeil sur son mur. C’est la, qu’elle vit ses trois visiteurs. Prise de panique, elle prit la clé des champs.
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Dépassé par les événements, elle invite les voisins à être témoins de ce qu’elle venait de vivre. Les voisins, à leur arrivée virent le saint père du christianisme céleste feu Oshofa avec deux autres collés en photo sur le mur. Alertés, les hauts visionnaires de l’Eglise du Christianisme Céleste (ECC) après d’intenses prières, révèlent le retour du père Oshofa qui porte un message de paix pour le monde entier.
Retour sur l’Eglise du Christianisme Céleste
L’Église du christianisme céleste (ECC) est une Église d’institution africaine fondée par le pasteur Samuel Biléou Joseph Oshoffale 29 septembre 1947 à Porto-Novo (Bénin). Principalement implantée en Afrique et dans les communautés d’origine africaine dans le monde, particulièrement béninoises et nigérianes, c’est une des églises les plus importantes issues du mouvement aladura.
En 2001, elle était la deuxième Église du Bénin par le nombre de ses pratiquants (près d’un demi million). En France, elle a été soupçonnée de « dérive sectaire » et d’avoir commis des violences ayant entraîné la mort d’un mineur de quinze ans.