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Le sévère message de l’épouse de l’international footballeur ivoirien Eric Bailly aux filles faciles

L’épouse de l’international footballeur ivoirien Eric Bailly n’a pas taris de mots pour dénoncer l’horrible habitude des filles d’aujourd’hui qui sont à la conquête de l’homme riche. C’est à travers un message relayé par le magazine ivoirien « Chez les ivoiriens ».

Après avoir raconté sa rencontre avec son époux l’international footballeur ivoirien Eric Bailly, elle a adressé un vibrant message aux jeunes femmes célibataires qui convoitent des hommes riches.

« J’ai rencontré Eric quand je gérais une cabine » a t-elle introduit avant de poursuivre  » il ne m’a pas rencontré dans un Avion, dans un bars, dans un festival, non il m’a rencontré à ma cabine téléphone avec mes beignets à côté ». A en croire sa publication, en ce moment Eric Bailly n’avait rien, il venait même appeler à crédit à sa cabine mais aujourd’hui il est un footballeur international.
« Cela ne signifie que tu dois te mettre à gérer une cabine pour rencontrer ce genre d’homme dans ta vie » fait-elle remarquer. 
Elle entend encourager la jeunesse africaine à donner le meilleur d’elle même afin de pousser l’homme avec qui elle sort à la réussite.

« Je payais le transport de mon mari quand il allait à l’entrainement » a t-elle rappelé avant de déplorer le comportement des jeunes filles d’aujourd’hui. « Les jeunes filles d’aujourd’hui, c’est se faire chic qui vous intéresse, vous comptez sur les hommes pour vous acheter quoi que ce soit, vous vous croyez supérieur à nous qui travaillons sur le soleil, vous ne voulez pas souffrir avec quelqu’un, vous voulez marier celui qui a tout dans sa vie, c’est vous qui l’avez aidé à avoir ça? »

A l’en croire, elles vivent dans la poche des hommes et quand un Homme vient à elles, il joue avec et s’en va parce que que la jeune fille d’aujourd’hui n’a rien à lui apporter.  » Souffrez pour avoir votre mari » a t-elle conseillé. Aussi, sachant que la voie facile empruntée ne leur donnera pas l’homme qu’il leur faut, a t-elle reconnu ne pas être
un exemple ou un model à suivre.

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