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Côte d’Ivoire : le procès de la chanteuse Nayanka Bell annoncé pour janvier 2018

Après son hospitalisation, l’artiste chanteuse ivoirienne Nayanka Bell est déjà prête affronter la justice de son pays. Le procès est annoncé pour le 27 janvier 2017. En effet, la chanteuse a été victime d’une crise de dépression et a été évacué à la polyclinique Farah de Marcory à Abidjan. Ceci fait suite à la décision du tribunal lui ordonnant de payer 160 millions de francs CFA de dommages et intérêts à la partie adverse que la chanteuse appelle « les squatteurs de mes terres » malgré toutes les preuves fournies par ses avocats

Selon ses proches, relayés par ivoirebusiness, elle s’est tout à coup mise à parler seule et à refuser de manger. A en croire la même source, c’est très amaigrie qu’elle a été finalement été conduite en clinique où elle est hospitalisée depuis le mardi 26 septembre 2017 en même temps que sa mère également affectée par cette décision du tribunal d’Agboville.

La pomme de discorde…

Il s’agit d’une affaire domaniale qui remonte à 1994 et opposant l’artiste chanteuse ivoirienne Nayanka Bell et plusieurs personnes. La dite crise serait un litige foncier à Agboville mettant en jeu une centaine d’hectares de terres. Alors que l’artiste chanteuse ivoirienne Nayanka Bell l’ancienne gloire de la musique ivoirienne se réclame propriétaire,  ces centaines d’hectares lui sont disputés par un groupe de personnes.

Les clarifications de la chanteuse…

 « C’est depuis 1994, il y a des personnes qui veulent me retirer tout notre patrimoine. Celui de ma petite sœur Aka Jérémie Ida dont les papiers sont au ministère de l’Agriculture. J’ai moi-même 34 hectares 98 et un autre 34 hectares 75 dont j’ai des concessions provisoires. Pour toutes ces propriétés, nous avons eu des concessions provisoires en 97-98.

Mon mari lui-même Lebel a 38 hectares 15. Normalement il ne devrait pas avoir de problème. Il se trouve qu’on vient de me condamner au tribunal d’Agboville sur dénonciation de personnes gens disant que j’ai détruit leurs plantations et la justice m’a condamné à payer 160 millions F Cfa à ces gens-là. » a t-elle explique à nos confrères de Linfodrome.

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