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Bénin : l’inattendue réponse de la chanteuse Kemy à Me Marie Elise Gbèdo

La réaction de Me Maître Elise Gbèdo sur le clip « J’aime mon mari » de la chanteuse béninoise Oluwa Kemi a fait couler beaucoup d’encres et de salives aussi bien dans le show-biz béninois que parmi les fans et internautes de Me Maître Elise Gbèdo et de l’artiste Kemi.

Pour rappel, c’était lors d’une communication qu’elle animait  dans le cadre de la première édition  du festival international de la culture de la paix entre les peuples d’Afrique (ficppa) prévue du 1er au 15 Décembre 2017 que Me Marie Elise Gbèdo , présidente des femmes juristes du Bénin a critiqué sans langue de bois un clip de Oluwa kemi. Selon Marie Elise Gbèdo, cette chanson n’éduque pas la société alors que cela devrait être la principale mission d’un artiste.

La réplique de Kemi à Gbèdo

La chanteuse béninoise oluwa kemi a repondu à Me Marie Elise Gbèdo au micro de nos confrères de kpakpatomedias. Qu’a-t-elle ressenti après cette réaction de la défenseuse des femmes du Bénin, amazone de la lutte contre les violences faites aux femmes et aux filles et présidente de l’association des femmes juristes du Bénin ?

« Ça ne m’a rien fait. C’est son avis. Chacun de nous peut donner son avis par rapport à une chanson » a répondu Oluwa Kemi. Selon Kemi, la présidente de l’association des femmes jurisites du Bénin  n’a pas bien écouté la chanson. « Dans la chanson, je n’ai pas appelé le nom des gaymans. La chanson parle juste des femmes qui ne veulent pas rester là où elles sont. Tu as fait ton choix  et tu es obligée de respecter ça ». a-t-elle expliqué. Pour Kemi, sa chanson ne demande pas d’aimer un voleur. « Je sais que c’est un voleur, je ne peux pas l’amener dans ma famille » a-t-elle  précisé.

« Si tu veux le chic, faut choisir le chic, si tu veux le cheque, faut choisir le cheque, si c’est le choc, faut choisir le choc. Je n’ai rien dit de mal dans ma chanson,  parce que moi-même je suis née au village.  Je ne peux pas dire du n’importe quoi dans mes chansons. Voilà ! ». A l’en croire, la chanson parle des femmes qui adorent les chics, chocs et chèques.

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