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Show-biz ivoirien : BB DJ tacle et menace Débordo Leekunfa

En côte d’Ivoire, les clashs, agressions et brouilles ne cessent de se multiplier dans l’arène du coupé décalé, une musique qui vit son âge d’or à Abidjan malgré les incidents. En effet, dernièrement, le chanteur ivoirien Débordo Leekunfa représente le ténor des scandales qu’engendrent le show-biz Ivoirien.

Cité il y a quelques semaines dans une affaires de plagiat avec à la clé des agressions entre DJ Arafat et lui, c’est dans une vidéo postée sur sa page officielle que BB Dj accuse Debordo de lui avoir volé son concept « robotique ».

Dans cette vidéo, l’artiste esquisse quelques secondes des pas de danse avant de s’adresser à Débordo Leekunfa qu’il appelle affectueusement « aîné ». «  L’auteur du titre Enfant poli semble ne plus respecter les conseils qu’il prodiguait autrefois dans ses titres ». L’artiste n’a pas tari de pour proférer des insultes à l’endroit de Debordo. « Tu es un voleur de concept… C’est moi qui suis le créateur du robotique partout en Afrique » , réclame-t-il.

« Robot cacador c’est quoi ça encore » ? s’est -il interrogé dans une publication sur Facebook.  A l’en croire, dans son dernier single baptisé « Zié Rentré », sorti bien avant celui de Debordo Leekunfa , le jeune artiste explique avoir fait la promotion d’une danse qu’on pourrait attribuer à la démarche d’un robot.

 

Une pluie de menace…

Cette accusation de BB DJ à l’endroit de Debordo n’est pas le premier et ne sera peut être pas le dernier. Pour cause, on se rappelle qu’il avait été victime d’une telle accusation lors de la sortie de son titre Pikimin. En effet, l’artiste était accusé d’avoir plagié un artiste congolais dont la vidéo circulait dans le même temps.

Pour l’heure, ce dernier semble minimiser le cri du cœur de Bb DJ alias Djey la Machine. Selon, l’un des managers de Debordo, les accusations du jeune  sont sans considération aucune car il est un habitué du buzz.

« Bb DJ, c’est qui ? Laissez les gens dire ce qu’ils ont envie de dire pour chercher leur buzz. Nous, on n’a aucun commentaire à faire » a t-il répondu

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